Scène 1 : Sam, Andy, Sookie, Tara
Sur le parking du Merlotte’s ….. Sam sort avec un sac poubelle quand il entend hurler, il jette le sac dans sa voiture et se précipite sur le parking des clients.
Andy : oh bouclez la vous deux, je n’arrive pas a réfléchir.
Sookie : Sam, il y a un corps dans la voiture (Andy sort la tête de la voiture)
Sam : qu’est ce qui s’est passé ?
Andy : Reculez, je m’en occupe.
Sam : laissez le faire.
Andy : ouais je m’en occupe, alors touchez a rien.
Sookie : on était entrain de chercher la voiture d’Andy.
Andy : quelqu’un a déplacé ma bagnole.
Sookie : et on l’a retrouvé avec ce corps dedans (une jambe dépasse de la banquette arrière).
Tara : il faut appeler les secours, il faut appeler la police.
Andy : ah la police, mais c’est moi la police !
Tara : faite que ce ne soit pas Lafayette.
Sookie : vérifiez son pouls.
Andy : je crois que ce n’est pas la peine.
Sam : pourquoi ? Un pourquoi ?
Andy : (il examine le corps avec une lampe) parce qu’on lui a arraché le cœur.
Tara : (pleure dans les bras de Sam).
Sam : non, ce n’est pas lui, ce n’est pas Lafayette. Qui c’est cette femme ?
Andy dévoile le visage de la femme avec sa lampe, elle est figée dans un rictus d’horreur. Tara a un flash, elle est dans la forêt avec miss jeannette, puis dans la pharmacie quand elle la menace. Sous le choc elle hurle.
Générique
Scène 2 : Policiers, Sookie, Tara, Kenya, Andy, Bud, Sam
Sur le parking du Merlotte’s ……… Des policiers s’affairent sur la scène du crime. Sookie est adossée a une voiture, elle regarde autour d’elle en écoutant les pensées.
Pensée Andy : ce monde part en couille, plus personne respecte l’autorité.
Pensée Kenya : je me demande si elle se rend compte que sa vie est pourri, elle sort a peine de taule et la seul amie qu’elle se fait …
Pensée Tara : Miss jeannette, ils vont découvrir que je la connaissais, que je suis allé la voire plusieurs fois, merde, merde, je lui ai tapé dessus, je lui en voulais a mort, ils vont croire que c’est moi.
Tara est adossée a une voiture de police et Kenya l’interroge.
Kenya : t’est sur que tu la connaissais pas tara ?
Tara : ouais, j’ai jamais vu cette femme de ma vie.
Kevin : fait gaffe, elle est toute raide (transportant le corps) si tu continue a la secouer comme ca, tu vas lui casser une jambe.
Pensée Andy : faut vraiment être taré pour balancer un macchabé dans la voiture d’un flic. Qui c’est qui m’a encore.
Sookie entend plusieurs voix, elle ferme les yeux et se concentre.
Pensée1 : rien à foutre elle est morte.
Pensée2 : y’a son sang sur le siège.
Pensée tara : je suis foutue s’ils apprennent que je l’aie frappé.
Les voix s’arrêtent.
Andy fait passer Mike avec le corps sous le ruban de sécurité.
Bud : Andy ! Au rapport.
Andy : bon voila, quand on a retrouvé le corps de cette femme, il était déjà tout rigide, ce qui prouve que le meurtre a eux lieu ailleurs et qu’ensuite on a amené et placé le cadavre dans ma voiture, y’a moins de 4H, puisque … je suis arrivé il y a 4H.
Bud : je vois ! Andy, tu vas aller te reposer un peu. Ta sœur est venue te chercher, alors rentre chez toi.
Andy : maintenant ! On vient d’assassiner une femme, tu ne vas pas te passer de ton meilleur élément.
Bud : c’est vrai Andy, mais tu es de service depuis 8H du matin, tu dois être crevé et saoul comme une vache.
Andy : quoi ? Non ce n’est pas vrai ! Je ne suis pas crevé (Andy retourne vers le corps, près de la camionnette du coroner)
Sookie et Sam sont contre une voiture de police, ils regardent distant la scène.
Sam : je ne sais pas pour toi, mais pour ma part j’ai fait le plein de cadavre pour le reste de ma vie.
Sookie : oui, mais ce meurtre n’est pas comme les autres. C’est pour exprimer sa colère que René tuais, mais là, (bud et Andy sont entrain d’examiner le corps avant d’être emmené), c’est dans l’intension de faire souffrir que le meurtrier a arraché le cœur de cette femme. (Sam regarde sookie) j’ai le don de voir clair en chacun de nous, et pourtant, je me trompe a chaque fois. (Tara reviens vers eux).
Tara : hey ! Je vais fermer le bar et après on pourra y aller. Tu m’attends ?
Sookie : Tara, d’où tu la connaissais la femme qui s’est faite assassiner.
Tara : je t’ai interdit de lire dans … c’était, c’était la femme qui nous a exorcisé ma mère et moi (Sookie surprise prend tara dans ses bras).
Sookie : je me suis faite des idées, excuse moi tara. Tu dois le dire a la police ma chérie, et tu le sais.
Tara : je le sais, je vais surement devoir passée la nuit a répondre a leurs questions. Ma pauvre mère va en mourir quand elle saura ce que j’ai fait.
Sam : rentre chez toi, sookie et moi on fermera.
Tara : (elle se retourne) Kenya, je viens de me rappeler un truc.
Scène 3 : Bill, Jessica, Sookie
Dans le salon de Bill …. Bill fait du feu dans la cheminé.
Bill : tu te coucheras toutes les nuits a 4H du matin, et pas plus tard.
Jessica : mais bien sur !
Bill : et tant que tu vivras sous mon toit, la chasse a l’homme te serra totalement interdite.
Jessica : comme s’il y avait quelque chose a chassé dans cette ville pourri de merde. D’ailleurs, c’est une ville ici ?
Bill : dans cette maison ont trient les déchets. Les bouteilles de True Blood et le verre dans la poubelle bleu, et les papiers et cartons dans la poubelle blanche (son portable sonne).
Jessica : wah t’a un portable ! Moi aussi je peux en avoir un ?
Bill : non ! (il décroche) allo.
Sookie : c’est moi je vais être un peu en retard, il s’est passé quelque chose d’horrible se soir au resto, je te raconterais tout, dès que j’arriverais.
Bill : si t’a besoin de moi, je peux venir immédiatement.
Sookie : j’ai toujours besoin de toi ! Mais reste a la maison, ca me donnera envie de te rejoindre au plus vite.
Bill : (il se retourne vers Jessica) prend ton temps.
Sookie : au revoir mon chérie (bill raccroche).
Bill : Jessica, j’ai une invité qui ne vas pas tardé a arriver.
Jessica : ont pourra la vidé de son sang ?
Bill : surement pas !
Jessica : c’est qui cette invitée ? C’est ta petite amie !
Bill : oui.
Jessica : elle est vampire aussi ?
Bill : non !
Jessica : ohhhhhh, est ce que je suis obligé d’être gentille avec elle ?
Bill : tu vas monter et enlever tout se maquillage, j’aimerais que tu sois présentable. Avec toute cette peinture on dirait une catin.
Jessica : une quoi ?
Bill : heu, une fille qui vend son corps.
Jessica: oh d’accord, merci!
Bill souffle.
Scène 4 : Jason
Chez Jason …dans son lit, avec un livre.
Jason : dans le livre des apôtres CH26 Versé 18, jésus dévoila a Paul son véritable but, ouvrir les yeux des mortel pour qu’ils passent des ténèbres a la lumière et de l’emprise de Satan a celle du seigneur. Si dieu est lumière alors Satan est ténèbres. Si nous, les êtres humains sommes les enfants de dieu, alors les créatures des ténèbres sont indubitablement les enfants de Satan.
Il regarde la place vide a coté de lui et y pose sa main.
Flash
Jason revoit Amy dans leur dernier trip.
Retour dans la chambre, il s’allonge a la place ou dormais Amy et pleure.
Scène 5: Bud, Kenya, Tara, Andy, Letti maé.
Au poste de police …. Tara est dans une salle d’interrogatoire, assise devant une table Bud et Kenya en face, Andy est assis en retrait dans l’angle de la pièce.
Bud : un exorcisme ?
Kenya : la dernière fois t’a vu un porc au milieu de la route. Un porc anabolisé aux hormones si ma mémoire ne me fait pas défaut tara. Ah oui et une femme nue aussi.
Andy : c’est quoi ce bordel ?
Bud : Andy !
Tara : c’est ce que j’ai vu !
Kenya : ton imagination débordante m’étonnera toujours.
Bud : tout ce que l’on sait c’est qu’elle s’appelai Nancy Levoir et qu’elle travaillais a la pharmacie de Soto a Keachi depuis 20 ans.
Tara : elle faisait du vaudou dans un vieux bus en plein milieu des bois.
Andy : ou ca exactement dans les bois (Andy se lève et se dirige vers tara), hein, parce que en plein milieu des bois c’est un peu vague.
Bud : Andy assied toi !
Andy : tu ferais mieux de parler tara (il se penche sur la table), t’es la seule ici a l’avoir connu et elle est morte sur ton lieu de travail.
Tara : mais dans votre caisse.
Andy : oui, pendant que toi t’occupais mon attention au bar, en me servant verre après verres pour me saouler, qu’est ce que tu cherche à me cacher, hein.
Bud : Andy ! (Bud attrape Andy par le bras), j’ai a te parler en privé.
Andy : et bouge pas d’ici (se penchant vers tara quand il est a sa hauteur), je sais que tu ne dis pas la vérité !
Kenya : hum, hum, hum
Dans le hall d’entrée.
Bud : tu dérape, il est tant de rentrer chez toi !
Andy : je sais très bien ce que je fais, je maitrise la situation.
Bud : écoute moi Andy, au mieux tu es témoins dans une affaire d’homicide, au pire tu es le suspect d’un meurtre.
Andy : oh, bud, un peu de sérieux bordel !
Bud : quoi qu’il en soit tu ne peux pas t’occuper de cette enquête.
Letti maé rentre dans le commissariat
Letti maé : dieu du ciel shérif ! Qu’est ce qu’ils ont fait à miss jeannette, je veux savoir !
Bud et letti maé entrent dans la salle d’interrogatoire.
Letti maé : qu’est ce qu’ils lui ont fait.
Tara : je t’avais dit de ne pas l’appeler.
Kenya : y’a eu un meurtre faut enquêter.
Letti maé : tara chérie, dit moi c’est vrai, on a tué miss jeannette ?
Tara : hochement de tête.
Letti maé : (Elle s’assoie bouleversée) cette grande dame m’a sauvé la vie !
Tara : maman (elle s’assoie en face de sa mère), cette femme n’avait aucun pouvoir magique, c’était une simple employée de pharmacie, tous ses trucs vaudou dans le bus, c’était du pipo.
Letti maé : comment t’ose me mentir !
Tara : je te mens pas, elle me l’a avoué.
Letti maé : c’est faux ! Tu dis n’importe quoi. Elle ment parce qu’elle est encore en colère contre moi.
Tara : non, je suis, je ne suis pas en colère, enfin si, mais non je te jure je te mens pas ! Elle m’a filé du péyote pour que je puisse tuer mes démons.
Letti maé : non, non, c’est un péché de salir ainsi la mémoire des morts, chérif, c’était une sainte femme !
Tara : non maman c’était une arnaqueuse, elle t’a volé ton fric, elle m’a volé le miens, je suis désolé.
Letti maé : pourtant cette sainte femme m’a guérit, cette sainte m’a guérit, je vais mieux maintenant, ca se voit non, je n’ai pas l’air d’aller mieux.
Scène 6 : Hommes, Lafayette
Dans une cave humide ..... 4 personnes sont attachés a des barres reliées a un engrenage situé au plafond, de l’eau tombe du plafond, un homme lève la tête, Lafayette bois quelques gouttes puis recrache..
Homme1 : le sceau, le sceau vite !
Ils se lèvent, attrapent les barres et font tourner l’engrenage. L’homme baisse son pantalon et s’assoit sur quelque chose, les autres se rassoient par terre. Une porte s’ouvre.
Homme2 : pitié non, je sais rien, je vous dit que je sais rien (ils descendent un escalier, un homme le tiens, il a les mains attachés dans le dos et un sac sur la tête)je vous le jure, pitié ne me tuez pas (Lafayette se cache derrière un poteau. l’homme lui donne un coup, il tombe a genou)oh non, non, qu’est ce que vous attendez de moi (il l’attache a une des barres) je sais rien (il détache un autre homme et lui enlève le sac avant de remonté avec l’autre) partez pas, me laissez pas ici (il regarde autour de lui).
Homme2 : Lafayette !oh non je rêve, mais qu’est ce que tu fou ici ?
Lafayette : j’aimerais bien le savoir.
Homme2 : mais, ou est ce qu’on est ici et c’est qui ses mecs ? Bordel vous aller me dire ce que je fais ici.
Lafayette : espèce d’attardé tu ne peux pas la fermer un peu !
Homme2 : ou est ce qu’il emmène ce mec ?
Lafayette : je n’en sais rien, mais on va bientôt l’entendre hurler.
Homme2 : oh non bordel, je suis ou (il regarde autour de lui) t’est la depuis combien de temps ?
Lafayette : je n’en ai pas la moindre idée.
Scène 7: Sookie, Bill, Jessica
Chez bill … Sookie est dans les bras de bill qui essai de la réconforter, ils sont dans le hall d’entrée.
Sookie : ils ont arraché le cœur de cette pauvre femme, j’avais jamais lu une telle peur sur le visage de quelqu’un.
Bill : ca m’attriste que tu ais vu ca.
Sookie : des dizaines de voix ont envahis ma tête, j’étais trop choquée pour leurs faire barrage, le bruit de leurs pensées, m’a fait exploser la tête (il relève sookie, les yeux dans les yeux) mais avec toi je retrouve le silence.
Bill : sookie … il faut que je te dise quelque chose.
Sookie : chutt, non pas maintenant, s’il te plait. Embrasse moi, tes lèvres apaiserons mon angoisse un instant (ils s’embrassent).
Jessica : oh la voila ! (Sookie lève la tête vers le 1er et vois Jessica vêtu d’une serviette de bain) alors c’est toi Sookie ? Oh bill, ta salle de bain elle est mortelle (sookie se détache de Bill pour se retournée vers Jessica).
Scène 8 : Tara, Letti maé, Maryann
Devant le commissariat … tara est assise sur le rebord d’une jardinière, letti maé sort du commissariat.
Tara : maman, je suis désolé, je ne pouvais pas te dire la vérité sur miss jeannette. Malgré toutes les horreurs que tu m’as faite subir je suis assez maso pour ne pas supportée de te voir souffrir. Je sais que si tu avais découvert que c’était une arnaqueuse tu
Letti maé : non ma fille ! Ce n’était pas une arnaqueuse ! Grâce a miss jeannette, je vis, je respire, alors je suis la preuve vivante qu’elle n’était pas une arnaqueuse. Elle m’a guérie, je me sens plus forte que jamais.
Tara : c’est vrai ?
Letti maé : le seigneur a testé ma foi en rappelant miss jeannette a lui. La foi je l’ai toujours ! J’aimerais pouvoir en dire autant pour toi, je prierais pour ton salue.
Tara : non ! Te fatigue pas, je me suis jamais sentis aussi bien de ma vie.
Letti maé : alors prions ensembles pour miss jeannette. Il y a un démon en ce bas monde qui convoitait son âme (une voiture viens de se garer, tara tourne la tête pour voir qui approche) si tu ne prends pas garde, il s’emparera de la tienne aussi.
Tara : Maryann ! (Maryann court vers tara et la prend dans ses bras).
Maryann : je suis venue aussitôt que j’ai su. (Elle lâche tara) est ce que ca vas mon cœur ?
Tara : oui, (elle se tourne vers Letti maé) c’est ma mère !
Maryann : Mme Thornton, Maryann Forrester. Tara m’a beaucoup parlé de vous, je suis enchanté de faire enfin votre connaissance (Maryann lui tend la main pour lui serrer, Letti maé sourit). J’ai toujours voulu savoir ce que j’éprouverais en plongeant dans le regard d’un être humain si dénué de remord et de compassion au point d’abandonner son enfant quand elle en avait le plus besoin (tara en retrait est figé, Letti maé ne souris plus).
Letti maé : quoi ?
Maryann : hum, maintenant je sais ! Je n’éprouve rien, a l’intérieure vous êtes morte, c’est pour ca que vous vous déchargez de vos responsabilités en vous noyant dans la foi ou dans l’alcool.
Letti maé : (lâche la main de Maryann et a un mouvement de recul) et vous êtes qui vous ?
Maryann : ce qui me dépasse totalement c’est que tara votre fille continue a vous aimée malgré tout. Vous l’avez maltraitée, négligée, trahis, vous avez rejeté sont amour depuis son plus jeune âge. Elle en a du courage (elle rejoint tara, la prend par l’épaule) c’est une sacrée fille ! Viens on rentre a la maison.
Maryann et tara partent, letti maé reste planté là sous le choc.
Scène 9 : Sookie, Bill, Jessica
Dans le salon de bill … Bill et Jessica sont assis cote a cote sur le canapé, sookie leur fait face debout.
Sookie : tu l’as tué ?
Bill : pas complètement, non.
Sookie : manifestement tu lui a fait quelque chose a cette, cette, au fait t’a quel âge ?
Jessica : 17 ans.
Sookie : oh mon dieu ! Ou sont tes parents ?
Jessica : elle pose toujours autant de questions ?
Sookie : si tu ne l’as pas tué alors tu l’as … mordu, c’est ca ?
Bill : oui.
Sookie : tu l’as vidé de son sang ?
Bill : oui.
Sookie : t’a fait l’amour avec elle.
Bill est choqué quand a Jessica elle est dégoutée, ils répondent ensembles.
Bill : non !
Jessica : beurk ! C’est un vioc.
Bill : le tribunal des immortels m’a condamné a la transformer en vampire, et a contre cœur j’ai du m’exécuter pour remplacer le vampire que j’avais tué pour te sauver la vie. (Sookie ne dit plus rien, mal a l’aise)
Jessica : alors tout ca c’est ta faute !
Bill : Jessica c’est bientôt l’aube, il faut que tu aille te coucher, ma couche est dissimulée sous les escaliers, tu peux t’y installer le temps qu’on s’arrange autrement.
Jessica : mais je ne suis pas fatigué.
Bill : vas y !
Jessica : je préfère le Fangtasia ! C’est naze ici (elle se lève et part, Sookie s’assoie sur le canapé en face de bill).
Bill : on ne va pas pouvoir la mettre dehors, c’est trop tôt ! Elle n’a aucune expérience. Une jeune vampire avec de telles pulsions pourrais s’avérer dangereuse.
Sookie : ou a-t-elle passé la soirée ?
Bill : ici avec moi et auparavant elle était avec Eric et Pam.
Sookie : donc elle n’aurait rien a voir avec cet horrible meurtre qui a eu lui sur le parking du Merlotte’s ?
Bill : non ! Enfin je ne crois pas …
Sookie : (contrarié) deux semaines déjà ! Et pourtant tu ne m’a jamais rien dit (Bill est gêné) ont a passé des heures et des heures au lit a parler de notre vie, de notre avenir, de football de la pluie et du beau temps et pas une seule fois tu m’as dit que t’avais tué et couché
Bill : non ! Je
Sookie : avec cette fille !
Bill : je n’ais …. (Il vient s’assoir a coté d’elle) Sookie, pendant plus d’un siècle et demi je n’ai pas transformé d’humains, je ne voulais infliger a d’autres la douleur que j’avais ressenti lors de ma propre transformation, cette atroce douleur on n’a pas envie de la partager avec son prochain.
Sookie : si je vie avec toi et qu’elle vie avec toi, alors je vie avec elle et je veux tout partager avec toi.
Bill : si je ne t’ai rien dit c’était uniquement pour te protéger Sookie.
Sookie : si elle vivait encore avec Eric, je n’aurais pas su la vérité. T’à pas essayé de me protéger, t’a essayé de me mentir. Comment tu veut que je continue a te faire confiance si tu me cache des choses aussi graves ! T’en a d’autres des secrets à m’avouer peut être ?
Bill : (regarde intensément Sookie dans les yeux) … non aucuns !
Sookie : je ne vais pas resté. Pas ce soir ! (elle se lève, récupère son sac)
Bill : Sookie !
Sookie : j’ai partagé avec toi les souvenirs les plus sombres de mon existence, pourquoi toi tu n’as pas partagé les tiens avec moi ? Je suis beaucoup plus forte que tu ne le crois !
Scène 10 : Stève Newlin, Nan Flanagan, Mme Newlin / Stève Newlin, Mme Newlin, Orry Dawson, Jason
Une émission de télé .....
Stève Newlin : les vampires ont enlevés tous sens a la mort et quand la mort n’a plus de sens, la vie n’en a plus non plus, lorsque la vie n’a plus d’importance il devient extrêmement tentant de tuer.
Nan Flanagan : erreur révérend Newlin, la vie a une grande importance pour nous. Nous avons tous connus les joies de la vie humaine et comme certains de vos congénères l’on montré il y a trois semaines en Louisiane nous sommes mortelle nous aussi ! Votre discours incite plus que jamais vos adeptes à vouloir faire disparaitre notre espèce et rien d’autre.
Stève Newlin : toutes vos manouvres politiques ne cacheront pas le fait que vous savez pertinemment qui a tué mon père, madame ! Votre espèce s’est nourrit de son sang.
Nan Flanagan : c’est une accusation scandaleuse !
Présentatrice : pouvez vous en apporter la preuve révérend ?
Stève Newlin : mon père a été lâchement assassiné purement et simplement.
Dans une grande salle, le révérend est en second plan, Mme Newlin au premier plan, assise devant un écran qui retransmet.
Stève Newlin : c’était un meurtre prémédité et commis sans aucune pitié, a présent la question qui se pose est, a qui profite se meurtre ?
Présentatrice : on arrive au terme de l’émission, un dernier mot madame ?
Nan Flanagan : il est évident que l’ambition politique du révérend n’a nullement était altéré par la disparition tragique de son père !
Stève Newlin : ce matin le soleil brille en Amérique Mme Flanagan, venez dont vous faire bronzé.
Nan Flanagan : donnez-moi douze heures révérend et je vous rejoins.
Presentatrice : merci a vous deux d’avoir participé a ce débat.
Stève Newlin : que la lumière de dieu vous bénisse Charonne.
Mme newlin se lève, pose son casque.
Mme newlin : je reviens tout de suite.
Elle se dirige vers le révérend.
Mme newlin : tu passe bien à l’image, tu deviens un vrai pro de la télé !
Stève Newlin : je fais de mon mieux, y’a encore du chemin à parcourir (ils marchent) des remarquent ?
Mme newlin : et bien parfois tu as tendance a parlé trop fort comme un prédicateur.
Stève Newlin : j’en suis un !
Mme newlin : ne le prend pas mal, tu as plus de chance de devenir gouverneur du Texas en jouant les bonnes cartes. (ils montent un escalier).
Stève Newlin : c’est vrai ?
Mme newlin : tu lui as cloué le bec, un instant j’ai même cru qu’elle allait sortir les crocs.
Stève Newlin : ah ca m’aurais arrangé, elle aurait montré au monde entier sa vrai nature.
Ils entrent dans une salle de banquet ou plusieurs personnes l’applaudissent.
Stève Newlin : bonjours les amis, comment vous m’avez trouvé ? Merci infiniment (il sert des mains).
Assis à une table, le révérend signe un livre, ils déjeunent.
Une femme : merci beaucoup révérend.
Mme newlin : au revoir, c’est gentil.
Stève newlin : Orry Dawson, vieille canaille venez par là !
Orry : ah ! Révérend. Mme newlin. Oh, j’aimerais vous présenter une jeune recru, Jason stackhouse qui habite cette bonne vieille ville de bon temps.
Stève newlin : oh !
Jason : whaou, c’est la première fois que je rencontre une star.
Stève newlin : je ne suis pas plus star que vous.
Mme newlin : attendez, bon temps ? Vous ne seriez pas le garçon que l’on a accusé de tous ses horribles meurtres.
Jason : oh euh, si c’est moi ! La loi et dieu m’ont disculpé comme Orry l’avais prévu. Pour la première fois de ma vie j’ai la sensation que le tout puissant a des projets pour moi.
Mme newlin : évidement ! Il en a pour nous tous, et lui c’est le projet que dieu m’a confier (en prenant le bras du révérend)
Jason : vous savez j’ai lu le livre de votre père et ca m’a vraiment … fait réfléchir au sens de la vie.
Stève newlin : surtout quand on comprend que son message c’est l’amour, même si ses débauchés de progressistes ont dévalorisé son œuvre.
Jason : moi comme il est dit dans le bouquin, je suis passé des ténèbres, a la lumière.
Orry : Jason est peu être un nouveau venu mais il a été très réceptif a nos préceptes. Il a un énorme potentiel.
Stève newlin : venant d’Orry c’est un beau compliment, cette canaille était le plus proche conseillé de mon père.
Orry : j’ai une idée, je crois que Jason ferais le parfait candidat pour intégrer l’institue de la lumière du jour.
Mme newlin : oh.
Orry : Stève et Sarah organisent un séminaire au Texas, ils y forment les meilleurs éléments pour rependre notre parole.
Stève newlin : considérez cela comme un tremplin dans la réalisation de votre destinée.
Jason : whaw, Jason un messager de dieu.
Orry : c’est un magnifique programme Jason, alors si vous avez du temps devant vous et beaucoup d’argent c’est l’occasion où jamais de racheté votre conscience.
Jason : et le prix d’une conscience s’élève a combien ?
Stève newlin : je ne connais pas les tarifs par cœur, mais voyez ca
Mme newlin : 12 000 dollars tout rond ! Ce prix comprend le gite, le couvert, le voyage, mais la formation est a votre charge.
Jason : je crois que c’est trop cher pour moi.
Stève newlin : je sais que c’est un lourd sacrifice, mais le salue de l’âme n’a pas de prix.
Mme newlin : plongez vous dans les prières, dieu vous aidera a payé.
Jason : d’accord, je prierai, dieu m’aidera a payé.
Stève newlin : que sa lumière divine éclaire votre conscience.
Scène 11 : Sam, Carl
Chez Maryann … Sam sonne à la porte, un sac poubelle a la main, on ouvre la porte.
Carl : elle vous a attendu hier soir !
Sam : Désolé, j’ai pas pu me libérer, en fait il y a eu un meurtre au restaurant.
Carl : on est au courant (il fait entré Sam), je vais voir si Maryann peut vous recevoir (il le dirige vers le salon pour le faire patienter).
Sam : ouais merci.
Sam entre dans le salon, regarde autour de lui, ses yeux se posent sur une statue sur la table base, il la prend.
Flash
Dans un jardin un chiot sort des plantes et se dirige vers une maison, il entre par une trappe. Il se transforme en jeune homme nu, ouvre le frigo, mais se dirige vers une table ou il y a de la nourriture a profusion, il dévore ce qui lui tombe sous la main, puis met des objets dans un sac poubelle, il attrape une statue.
Une femme : comment est tu entré ici ? (il se retourne) si tu l’avais casé, je l’aurais vraiment mal pris !
Sam : je vais, je vais partir.
Maryann : tout nu, par ce temps !ou sont tes vêtements ?
Sam : euh, je n’en sais rien.
Maryann : tu es un cas très intéressant. Quel âge a tu ?
Sam : 17 ans.
Maryann : Hummm.
Retour dans le salon.
Carl : c’est un bel objet, non ? (Sam se retourne surpris) époque mycénienne. Maryann dort encore, voulez vous que je lui transmette un message.
Sam : dite lui, que j’ai un cadeau pour elle. (Sam s’en vas)
Scène 12 : Sookie, Maitre Lancaster
Chez Sookie …. Elle prend son petit déjeuner dans la cuisine, l’air préoccupée. Elle ouvre la porte de la chambre de sa grand-mère et entre, observe tous les objets et meubles. Elle a disposé les objets par terre et fait des cartons. On sonne.
Sookie : asseyez-vous maitre Lancaster.
Maitre Lancaster : merci.
Sookie : est ce qu’il vous manque un document concernant la succession de ma grand-mère, je vous ai envoyé une copie de l’acte de propriété.
Maitre Lancaster : Non, non ce n’est pas ca, j’ai tout ce qu’il me faut ! … je suis porteur d’une mauvaise nouvelle. Ton grand oncle Bartlett est mort Sookie. Un tel malheur après la mort de ta grand mère, cela doit te faire un choc.
Sookie : oh mon dieu, de quoi est t’il mort ?
Maitre Lancaster : et bien, c’est la police du comté de Parish qui l’a retrouvé. On l’a localisé a quelques kilomètres de Simsboro, flottant dans la rivière.
Sookie : comment ca se fait qu’on l’ait retrouvé si loin ?
Maitre Lancaster : Walnut Creek passe derrière chez lui, le shérif pense qu’il s’est approché du bord et qu’il a glissé, la police a conclue a un accident. Pas d’effraction, sa maison n’a pas été cambriolée et de plus c’était un homme bon. Personne n’aurait voulu lui faire le moindre mal.
Sookie : la police n’a pas relevé des marques sur son corps.
Maitre Lancaster : Sookie, il y a des alligators et des poissons dans la rivière, il a passé plusieurs semaines dans l’eau. Il ne reste pas grand-chose du corps.
Sookie : oh mon dieu !
Maitre Lancaster : je suis aussi triste que toi, il n’y avait pas d’homme plus généreux que lui. J’étais fière de compter parmi ses amis.
Sookie : oh, non, non, c’est affreux !
Maitre Lancaster : si cela peut te consolé, sache que ton oncle tenait énormément a toi. Il a stipulé sur son testament qu’il désirait que tu hérite de la somme qu’il possédait sur son conte en banque. Ce n’est pas grand-chose, environ 11 000 mille dollars, mais son geste démontre qu’il avait de l’amour pour toi (il lui tend une enveloppe) accepte cet héritage, il te revient de droit (elle prend l’enveloppe).
Scène 13 : Maryann, Tara, Eggs
Chez Maryann … Tara et Eggs sont au bord de la piscine, Maryann les rejoint avec une corbeille plein de fruits.
Maryann : c’est impressionnant non, c’est le dieu pan et son amante humaine.
Tara : elle n’a pas de nom ?
Maryann : non ! Elle pourrait être chacune d’entre nous. Les grecs savaient que seul un voile très fin nous séparait des divinités. Leurs dieux n’étaient pas inaccessibles comme le sont les nôtres aujourd’hui.
Tara : ils ne le sont pas pour ma mère, elle croit être en liaison directe avec jésus.
Eggs : rire
Maryann : tu ne peux pas t’empêcher de tout ramener a ta mère !
Tara : je la cautionne pas pour autant, vous avez eu raison de l’insulter, mais quand même.
Maryann : si tu te protégeais d’elle au lieu de la protéger elle. Elle serait toujours ta mère, et toi tu serais plus heureuse. Hum, je vais chercher de la papaye.
Eggs : Maryann a une réserve inépuisable de fruits tropicaux.
Tara : et de beu
Eggs : sa je n’avais pas remarqué, je fume de l’herbe depuis l’âge de 10 ans, mais je mange des fruits que depuis 3 mois.
Tara : (rire) et dire que je balisais quand je volais des clopes a l’âge de 12 ans.
Eggs : si tu balisais pour si peut, je ne vais pas te raconter ce que je faisais moi a cet âge là !
Tara : est ce que t’a …, tu sais, avec Maryann ?
Eggs : nonn, t’a fumé ou quoi ? Non, non on ne joue pas sur le même terrain, elle est d’un autre monde. Cette femme, elle est inaccessible, mais je commence a bien la cerner, elle cherche a nous faire comprendre qu’on est plus heureux qu’on ne le pense.
Tara : plus heureux ! Parle pour toi. Moi je viens de voir mon premier macchabé hier soir.
Eggs : et ben, t’a de la chance de ne pas en avoir vu avant. Parce que pour ma part, des cadavres j’en ai fait collection.
Tara : et comment tu le vit ? (il pose sa mains sur la cuisse de tara)
Eggs : bien, je pense, je ne suis pas mort moi. Et je peux encore apprécier ta peau si douce.
Ils rient, Eggs s’approche de tara pour l’embrasser.
Carl : serviettes propre ? (tara surprise, recule) tissus Egyptien.
Eggs : merci (ils se regardent gêné).
Tara : ben je vais, je vais me changer, je travaille se soir.
Elle se lève et rentre dans la maison, vois Maryann qui est dans la cuisine et lui sourit avant de disparaitre dans la maison.
Maryann : Carl ! (il vient vers Maryann, une fois a sa hauteur elle lui donne une gifle violente qui le met a terre) tu as tout foiré avec tes serviettes !
Scène 14 : Jason, Hoyt, Sookie
Sur une route dans la forêt, des gens travaillent....
Jason : ouais ! Ce fils de pute il va me manquer. C’était mon meilleur ami !
Hoyt : c’était le miens aussi (ils vont s’assoir a l’arrière de la voiture de Jason)
Jason : quand j’y pense, cette espèce d’enfoiré il m’a quand même bien baiser.
Hoyt : tu ne pouvais pas le savoir Jason, ont connaissaient rien de la vie de René.
Jason : tout ses pauvres gens qu’il a tué … y’a une question que je me pose, pourquoi dieu a-t-il rappelé a lui tous ses innocents … tu sais Hoyt quand j’étais en taule, un messager de la communauté du soleil est venu me voir.
Hoyt : les antis vampires c’est ca !
Jason : non, ils ne font pas que détester et combattre les vampires, si je cherchais des réponses a mes questions c’est vers eux que j’irais.
Hoyt : et pourquoi t’irais vers eux, puisqu’on a déjà une église ici a bon temps.
Jason : dit moi ce que cette putain d’église t’a appris ?
Hoyt : et bien elle m’a appris a devenir un bon chrétien, a ne pas détester les vampires et a ne pas haïr mon prochain.
Jason : t’a retenu que leurs messages de haine, ils peuvent t’apporter bien plus que ca. Quand je suis avec eux, je me sens à ma place, je me sens utile et j’entends fort l’appel de dieu (une voiture arrive) et l’appel de Stève Newlin en personne !
Jason : salut.
Sookie : salut.
Jason : qu’est ce qu’il y a ?
Hoyt : Sookie, j’ai appris ce qui c’était passé, au Merlotte’s, je suis désolé, vraiment.
Sookie : merci Hoyt, c’est gentil de ta part. Jason.
Jason : ouais.
Sookie : maitre Lancaster est venu me voir chez nous, et, il m’a annoncé une mauvaise nouvelle.
Jason : quoi ?
Sookie : oncle Bartlett est mort Jason !
Jason : mais, mais, mais, qu’est ce qui s’est passé ?
Sookie : il est tombé dans la rivière qui passe derrière chez lui, et d’après la police il s’agirait d’un accident.
Jason : oh non, non.
Sookie : et ce n’est pas tout, il, il nous a laissé un petit héritage. Enfin pas a nous, a moi, mais j’en veux pas, alors je te le donne, tiens.
Jason : attend, je ne comprends pas. Pourquoi a toi ? C’est moi qui tondais sa pelouse tous les dimanches !
Sookie : j’en sais rien, il était vieux et sénile, aller c’est a toi.
Jason : tu, tu sais quoi on va partager ok !
Sookie : Jason, je NE VEUX PAS de cet argent ! (il prend l’enveloppe) prend le (Jason lui souris) je dois allée travailler. Contente de t’avoir vu Hoyt.
Elle monte dans sa voiture et part. Jason regarde le chèque, lève la tête au ciel, sourit.
Jason : merci seigneur.
Scène 15 : Sam, Maryann, Arlène, Daphné
Flash
Maryann est au dessus de Sam jeune dans un lit, ils font l’amour.
Maryann : tu imaginais ca en pénétrant ici ?
Sam : non.
Maryann : oh reste avec moi, je te ferais découvrir des choses que jamais tu n’aurais imaginé (Maryann se met en transe).
Sam : oh, oh qu’est ce qui y’a ? (Sam la renverse et se met sur elle) mais vous êtes quoi ?
Maryann : mon p’tit, t’est pas le seul spécimen étrange en ce monde !
Retour au présent … Sam est dans son bureau, Arlène frappe et entre avec une femme.
Arlène : hey Sam ! Je ne sais pas si t’a l’intention d’engager d’autres serveuses, mais Sookie et moi on est débordées, on va bientôt crever. T’a vu mes ongles, y’en a 9 sur 10 de casés.
Sam : oh Arlène, je suis désolé, écoute je vais passer une petite annonce.
Arlène : oh ce n’est pas la peine ! Daphné est libre, elle cherche un boulot de serveuse, alors c’est le moment ou jamais de te bougé le cul.
Daphné : j’ai de l’expérience, j’ai bossé au Cracker Barrel a Alexandria.
Sam : oh d’accord. Ouais c’est bien. Ben venez, asseyez vous.
Arlène : (en sortant) merci Sam. Oh Sam je peux me garer a coté de ta caravane, ca me dégoute de mettre ma voiture la ou, cette femme.
Sam : d’accord, ouais vas y.
Arlène : je t’adore ! pense a mes ongles. (Elle ferme la porte)
Sam : enchanté, (il se lève et lui tend la main) salut Sam Merlotte.
Daphné : salut.
Sam : ca vas ? Daphné c’est ca ?
Daphné : hum, hum.
Sam : j’adore ce prénom.
Daphné : c’est d’origine française, ma mère est a moitié cajun.
Sam : ah ! Donc, vous avez travaillé au Cracker.
Scène 16 : Lafayette, Un homme
Retour dans la cave.....
Homme : plein de gens pensent que je suis un connard.
Lafayette : nonn.
Homme : c’est vrai ! Oui je suis un con. Je me bats avec tout le monde, j’enmerde les vieilles dans la rue. J’ai même pissé une fois dans le café de mon patron.
Lafayette : t’est pas obligé de te confesser à moi.
Homme : je sais bien, mais j’ai que ca à faire ici. Tu parle jamais avec les autres toi ?
Lafayette : non ! La plupart du temps, je me parle a moi même … je réfléchis.
L’homme : tu réfléchis à un moyen de sortir d’ici ?
Lafayette : plutôt aux raisons de ma présence dans se trou. Aux conneries que j’ai faites dans ma vie, les drogues, le sexe, mon site porno. Et pourtant tu vois j’ai tout fait pour donné un sens a ma vie, et je vais mourir comme un rat. Fait chier ! Mais au moins il ya une morale dans l’histoire.
L’homme : ca vas nous faire du bien de nous parler, il faut qu’ont se confesse toutes les conneries qu’on a faites, comme ca, si l’un de nous s’en sort il pourra dire aux gens qu’ont c’est repentis. (Il pleure) pourvus que ce soit moi !
Lafayette : comme tu veux, si ca peut soulager ta conscience alors confesse toi.
L’homme : bon d’accord, j’y vais. Voila, j’avais 20 ans, mon cousin Rufus il sortait avec une fille qui se vantait de pouvoir écraser une canette de bière avec ses nichons, un soir je me suis retrouvé seul avec elle et je lui ait demandé de me faire une démonstration, j’ai vidé une canette et avant que j’ai eu le temps de dire ouf, c’est ma gueule qu’elle a écrasé, avec ses nichons ! Rufus l’a apprit et il était si fou de rage qu’il m’a balancé par la fenêtre. J’ai eu la hanche brisé en milles morceaux, ont m’a mis une prothèse pour que je puisse remarcher. Mais maintenant j’ai de l’amiante au cul.
Lafayette : j’espère que tu ne seras pas le dernier enfoiré que je verrais avant de mourir.
L’homme : allé vas-y, à toi. Raconte moi ta vie, t’a surement fait des conneries que tu regrettes.
Lafayette : oh oui, je regrette de m’être engueulé avec mon patron qui me reprochait d’avoir envoyé chier trois bouseux.
L’homme : tu regrette de m’avoir insulté ?
Lafayette : ah ca non ! Tu l’avais bien mérité.
L’homme : ouais, c’est vrai. Désolé d’avoir insulté ton gros cul de pédé. Je suis vraiment trop con.
Lafayette : je t’aurais au moins ouvert les yeux.
L’homme : puisque qu’ont en est aux confidences, je vais t’avouer quelque chose. A 15 ans en colonie de vacances je me suis fait faire une pipe par un pote. (Il pleure)
Lafayette : hum
Scène 17: Andy, Sookie, Tara, Sam, Jason, Hoyt, Arlène, Terry
Au Merlotte’s …. Terry est en cuisine, Andy saoul fait le tour des clients.
Andy : bonsoir. Nancy Levoir, ca vous dit quelque chose ?
Une femme : hum, hum.
Andy : et Miss jeannette ?
Une femme : non.
Sookie passe derrière le bar.
Sookie : un pichet de bière sans alcool.
Tara : quoi, ils se saoul plus dans la bande ?
Sookie : non, Jason ne bois plus et la mère de Hoyt, lui interdit de boire de l’alcool.
Arlène : de quoi elle se mêle cette grosse vache ! Son soutif je pourrais m’en servir de hamac.
Tara : rire.
A une table … Jason et Hoyt son assis, une femme est debout devant eux.
La femme : aller Jason, prend une bière avec moi.
Jason : non je bois plus, j’évite tout ce qui pourrait me faire du mal. Tout ca c’est fini pour moi.
La femme : oui, mais t’a pas besoin d’être bourré pour me pété ma petite rondelle.
Jason : c’est gentil merci pour la proposition chérie mais je préfère passer la soirée avec mon pote.
La femme : oh ! Vous êtes gais tous les deux c’est ca.
Jason : nonn, j’ai juste envie de tourné une page, c’est tout.
La femme : alors tant pis pour toi (elle se tourne vers Hoyt). Y’a plus que toi, tu veux faire la fête ?
Hoyt : euh, euh.
La femme : laisse tomber c’est trop tard. Je ne fais pas les débutants (elle se tourne vers Jason), moi je fais que les bons coups (elle part).
Jason : tu sais moi il faut que je reste pure pour mon séminaire, mais si toi tu veux te la faire, tu peux.
Hoyt : non, non, je ne suis pas un dragueur tu vois, et puis je les aime plus gentilles.
Andy a une nouvelle table
Andy : Sa tête était recouverte d’un sac poubelle de 150 litres, on en vend a la droguerie du centre ville de bon temps, si vous savez qui en utilisent appelez moi.
Femme1 : d’accord.
La femme de derrière l’interpelle.
Femme2 : j’étais au Merlotte’s l’autre soir, on pouvait sentir l’odeur du sang jusqu’ici.
Femme1 : faut vraiment être taré pour arracher le cœur d’une pauvre femme.
Femme2 : tu te souviens de René Lenier ou Marshall je sais plus, et ben, il parait que la ligue américaine des vampires a voulu lui donner une bonne leçon, ils ont ouvert sa tombe, ils l’ont déterré et l’ont transformé en vampire.
Femme1 : donc c’est peut être lui qui a tué cette femme (Arlène qui s’approchaient d’elles reste planté au milieu du bar)
Femme2 : faut faire gaffe, René Marshall peut encore nous chopé (elles rient, Arlène pose leurs bières)
Arlène : vous devriez avoir honte, mesdames, il s’appelait Drue Marshall et il est mort et enterrer et il reviendra jamais a la vie (elle pleure, Terry arrive, il pose des billets sur les deux tables)
Terry : je vous rembourse vos verres, maintenant vous dégagez, aller, aller les grosses dégagez ! Dehors !
Femme : viens vos mieux partir.
Terry : et on se dépêche !
Femme : quel connard celui la.
Terry : et on ne se retourne pas !
Arlène : (se jette dans ses bras) oh, je t’adore, t’étais pas obligé de faire ca tu sais.
Dans le bar
Sookie : tu vas assister à un séminaire.
Jason : euh.
Sookie : pour quelle église.
Jason : euh, l’église baptise Malbora, a bâton rouge. Ca dure qu’une semaine mais ca me permettra de changer d’air, ca me fera du bien.
Sookie : une semaine de congés me ferais du bien aussi. J’ai, enfin eu le courage de ranger les affaires de grand-mère, j’ai du me faire violence pour prendre cette décision.
Jason : ouais je sais, elle me manque aussi. J’espère qu’un jour dieu me dira pourquoi il rappel a lui aussi vite des femmes comme grand-mère ou Amy.
Sookie : Amy était accro au jus de vampire.
Jason : ce n’est pas pour autant qu’elle méritait de mourir. Et puis j’y pouvais rien si je l’aimais, quand on aime une personne on accepte tout d’elle, sinon ca s’appel pas de l’amour.
Andy : a te voila Stackhouse ! J’ai quelques questions à te poser.
Sookie : fait pas attention à lui il est saoul. Amuse-toi bien au séminaire.
Jason : ouais !
Au bar
Sookie : tara, tu sais ou il est Sam ?
Tara : dehors, je te préviens il est bizarre ce soir. J’ai appris pour ton oncle Bartlett, je suis désolé.
Sookie : merci, t’inquiète pas ca vas aller. J’aimerais que les gens arrêtent de mourir dans cette ville.
Tara : ouais.
Scène 18 : Bill, Jessica
Chez Bill … dans le salon, Jessica et bill sont assieds autour de la table, pleine de bouteilles de true blood.
Bill : goutte, le A négatif.
Jessica : hum, c’est moins dégueux que le A positif, mais beaucoup plus degueux que le B négatif. Beurk !
Bill : il faut que tu prennes des forces. Deux tiers des nouveaux vampires meurent la première année.
Jessica : j’y peux rien moi, si je déteste ca. Eric lui, il me laisse sucer le sang d’un tatoué avec des piercings aux tétons.
Bill : je ne suis pas Eric !
Jessica : oh non ! T’a rien à voir avec Eric.
Scène 19: Sookie, Sam, Tara, Bud, Andy, Eggs, Maryann
Au Merlotte’s …Devant le mobil home de Sam, il est assis sur les marches une bière a la main.
Sookie : Sam, je ne t’ai pas vu de la soirée.
Sam : ouais, ben j’ai passé une journée de merde.
Sookie : c’est le meurtre de cette femme sur le parking qui te tracasse.
Sam : Sookie, je n’ai pas trop envie dans parlé.
Sookie : d’accord. Le bar commence a se vidé un peu alors je pensait
Sam : et tu veux finir plus tôt pour rejoindre Bill.
Sookie : je me permettrais pas de te demandé ca, si ce n’était pas important mais on s’est disputés et on doit mettre des choses.
Sam : te sent pas obligée de me raconter ta vie privée.
Sookie : je tenais aussi à te présenter mes excuses. J’ai jamais voulu te blessé Sam, tu sais combien je tiens a toi.
Sam : t’a pas le sentiment de passée ta vie, a me présenter tes excuses ou a me crier dessus. T’en a pas marre ?
Sookie : Sam.
Sam : non parce que tu vois, moi j’en ai marre. Je peux pas tout le temps m’adapter a tes sautes d’humeurs, hein. Et j’en ai plein les bottes de tes problèmes (il se lève et se dirige vers le bar) tu commenceras plus tôt demain matin pour récupérer tes heures !
Andy devant une autre table
Andy : a Keachi ! T’est pas allé là bas chercher des médocs ? Mens pas pépé.
L’homme : fait non de la tête.
Andy : t’est sur de ca ?
L’homme : hum, hum.
Andy : ouais (il se retourne et se retrouve devant Bud) quoi ? Je fais mon job, j’essaie de sauver mon honneur, puisque je suis un suspect et si ca t’embête pas, je vais continuer mes investigations.
Bud : Andy ! Tu es entrain de te ridiculiser, je suis contrains dans ton intérêt de te retirer l’affaire.
Andy : Budd, je suis un excellent flic ! Je peux résoudre cette affaire et je veux le prouver a tous ses ploucs.
Bud : trouve-toi une autre occupation.
Andy : hey, je ne sais rien faire d’autres, j’ai que ca.
Bud : désolé Andy
Sam est assis dans son bureau
Flash
Sam jeune est dans le lit de Maryann, il la voit dans un miroir entrain de prendre une douche. Il se lève rapidement, s’habille, met dans un sac des bijoux qui sont sur une commode puis ouvre un tiroir et trouve des liasses de billets qu’il met dans son sac.
Retour dans le bureau.
Maryann : tu as quelque chose qui m’appartiens (Sam sursaute et se lève, Maryann entre et ferme la porte). Carl m’a dit que tu étais passé me voir avec un cadeau. Et moi j’aime les cadeaux !
Sam récupère un sac poubelle dans un de ses tiroirs.
Sam : j’ignore comment tu m’as retrouvé, mais je suppose que t’es venue récupérer ca. Je te demande de me pardonner, j’étais jeune, je ne savais pas ce que je faisais (Maryann prend le sac, Sam recul).
Maryann : je m’en souviens bien (elle le pose par terre et l’ouvre). Des billets ! Si ce n’est pas tronion. Ce n’est pas le fric qui m’intéresse.
Sam : si t’a l’intention de te venger en te servant de tara.
Maryann : me venger de qui ? De toi ? Qu’est ce qui peut bien te laissé penser que tu m’obsède de la sorte.
Au bar.
Eggs : quoi ? Maryann passait ici se soir, et je l’ai accompagnée pour te voire.
Tara : quand même ! Ou t’es plus débile que je croyais ou alors t’es trop bien pour moi.
Eggs : arrête, je voulais voir ou tu bossais. Y’a pas de mal a ca.
Tara : bon c’est ton jour de chance, la jolie barmaid t’a a la bonne, les verres sont tous gratos, je te sers quoi ?
Eggs : je voudrais un truc de ….
Tara : je peux te faire un petit cocktail (elle se retourne vers les bouteilles) une Margarita ou un mori (elle se retourne vers Eggs qui l’embrasse).
Eggs : un truc dans se gout la (ils s’embrassent, Sam et Maryann reviennent au bar).
Scène 20: Sookie, Bill, Jessica
Chez Bill … Sookie entre, Bill et Jessica sont assieds au salon.
Jessica : celui là n’est pas trop dégueux !
Bill : Bien, deux tiers de O négatif, un tiers de B positif, tu n’oublieras pas (il se lève pour rejoindre Sookie).
Sookie : il faut qu’on parle tout les deux, en privé.
Bill : je ne peux pas prendre le risque de la laisser seul (Sookie vas dans le salon et s’assoie sur la table en face de Jessica)
Sookie : je crois que nous sommes partie sur de mauvaises bases et je sens que c’est un petit peu de ma faute. Je n’ai pas pris la peine de cherchée à te connaitre, ni d’écouter ce que tu avais à dire, et je te demande pardon.
Jessica : t’a réellement envie de me connaitre ?
Sookie : bien sur ! Tu le mérite amplement, Jessica, tu excite ma curiosité depuis le début, mais avant je voudrais te demander un grand service. J’aimerais passer la soirée avec mon petit amis, et demain si tu veux on se fait une soirée toutes les deux, rien qu’entres filles.
Jessica : d’accord, j’ai du temps devant moi de toute manière (elle se lève et sort) Bonne nuit.
Bill : j’avoue que tu m’as épaté Sookie, c’est comme si tu l’avais hypnotisé.
Sookie : est ce que tu es impliqué dans la mort d’oncle Bartlett.
Bill : ……. Il a abusé de toi.
Sookie : oh mon dieu. C’est donc si facile pour toi de tuer, la vie humaine a donc si peut de valeur a tes yeux que tu peux tuer sur commande et jeter le corps aux crocodiles. Je ne veux pas voir quelqu’un mourir à chaque fois que je te confie un secret, je me suis sentie tellement inhumaine quand j’ai tué René que ca me hante chaque minutes. A cause de toi j’ai l’impression d’avoir tué une deuxième fois, je me dégoute. …. Tu sais Bill, je croyais que malgré notre différence, ont pouvaient vivre une belle histoire tout les deux, aujourd’hui j’en suis plus aussi sûr. Je suis plus sûr de rien … S’il te plait, répond moi Bill …. (Elle va pour partir, Bill se matérialise devant la porte d’entrée).
Bill : Sookie, il est hors de question que je prenne le risque de te perdre. Je suis conscient de t’avoir brisé le cœur, rendu malheureuse et même déçue, mais je te promets que je me rachèterais. Je n’ai aucun regret, je refuse de m’excuser pour ce que tu as réveillé en moi, l’amour, Sookie, Sookie tu es le miracle de ma vie. Pour la première fois en 140 ans, tu as fait renaitre en moi, un sentiment que je croyais perdu a jamais … je t’aime plus que tout, je l’assumerais jusqu'à la fin des temps.
Sookie : (en pleure) je t’aime Bill Compton, je t’aime tant
Ils s’embrassent, montent dans la chambre et font l’amour.
Scène 21 : Lafayette, Un Homme, Eric.
Dans la cave …
L’homme : j’ai un plan, ont va se tiré de la.
Lafayette : joue pas au con.
L’homme : je reviendrais te sauver, je te le promets
Lafayette : tais toi (Lafayette se cache derrière un poteau)
Une porte s’ouvre, Eric descend les escaliers en fredonnant.
Eric : c’est pas la peine de chuchoté mon mignon, notre ouïe est sur développée. Bon les conspirateurs puisque vous m’avez forcé à descendre, je vais en profiter pour sortir les ordures (il s’approche et s’accroupi devant l’homme) Royce Allen Williams, nous avons quelques questions a te posé concernant l’incendie d’une demeure qui a tué trois des n’autres.
Royce : c’est pas la peine mec, je sais rien.
Eric : le nombre d’assassina de vampire augmente, on a perdu un shérif il y a quelques jours (il se lève et lève Royce) il nous faut des réponses.
Royce : non, non (Eric l’emmène, ils vont pour remonté l’escalier quand Royce lui balance une croix en argent) crève sale macchabé !
Eric : hurlements de douleurs.
Eric le rattrape, le jette a terre le prend par un pied, le ramène dans la cave, le soulève et le démembre littéralement.
Fin