Scène 1 : la reine, bill
Chez la reine …… Bill découvre une fille allongée sur un canapé, elle gémie de plaisir … la reine est en plein repas.
Bill : Je tombe au mauvais moment ?
La reine : Comment ca au mauvais ? Il n’y a pas de mauvais moment, pour apprécier les bonnes choses. (Elle se retourne pour regarder Bill). Tu te joins à moi ?
Générique
Scène 2 : Hoyt, Jessica, Mme Fortenberry
Dans le salon de Bill … Jessica est entrain de mordre Mme Fortenberry.
Hoyt : Arrête ca ! (Hoyt empoigne violement Jessica pour libérer sa Mère)
Hoyt : tu es devenue folle ?
Jessica : t’a pas entendue les trucs dégelasses qu’elle a dit sur toi, et sur moi !
Hoyt : c’est ma mère bordel, elle en a le droit. D’où est ce que tu débarque ? (Hoyt s’approche de sa mère). Maman ?
Jessica : je m’excuse.
Hoyt : maman ? ca vas aller.
Mme Fortenberry : Oh ouiii, humm (Hoyt aide sa mère à se relever)
Jessica: Hoyt
Hoyt : j’aurai dus écouter bill le vampire quand il m’a dit de t’éviter. Allé viens maman on y va.
Mme Fortenberry: ohh, on doit vraiment y allé ? C’est idiot, j’ai pris un de ces pieds, youhouuuuu
Hoyt : t’a vus ce que tu lui as fait. Aller vient !
Hoyt et sa mère partent, Jessica reste dans l’entrée en pleure puis ferme la porte violement dans un cris de colère.
Scène 3 : la Reine, Bill
Chez la reine … Bill mal à l’aise est assis sur un canapé. En face de lui le « déjeuner » de la reine est toujours allongé sur le canapé d’en face. La reine revient, il se lève.
La reine : qu’est ce qui te donne le droit de refuser le sang fémoral d’une jeune femme en pleine santé ? Tu sais quel est ton problème mon p’tit Bill, tu es snobe ! je hais les snobes. Ils sont étroits d’esprit ou ils ont une petite queue ou bien les deux.
La reine essuie une goute de sang sur son seins et porte son doigt a sa bouche.
La reine : Dégage ! (à l’ intention de son déjeuner). Tu as mangé ?
Bill : pas ce soir, mais
La reine : j’ai sept nouveaux sujets à la cours, un letton à croquer, il faut le gouter pour en croire ses papilles, du sang fin et pure comme on en fait plus. Tout a fait ce que j’ai connu au moment de ma transformation. Avant que la révolution industrielle ne pourrisse notre garde mangé. Je le fais venir ?
Bill : non, merci. Je suis la parce que j’ai une demande urgente a vous formuler. Voila, j’aimerais savoir comment tuer une ménade ?
La reine : Une ménade ? A bon temps, c’est étrange ! (Prend un magasine et s’allonge sur le canapé en face de Bill)
Bill : oui, elle semble être à l’ origine d’une hypnose collective. En quelques jours tous ses habitants sont retombés dans un état primitif. (Bill s’assoie)
La reine : oh mon dieu, ca c’est de la vieille ménade. Enfin, elles sont toutes vieilles, de vraies reliques.
Bill : elles viennent de la Grèce antique.
La reine : même avant, alors il y a eu des orgies ? Des sacrifices ?
Bill : oui
La reine : du cannibalisme ?
Bill : on suppose, oui.
La reine : oh l’éclate ! (elle feuillette son magasine)
Bill : alors comment on la tue ?
La reine : tu rêve ! Elle est convaincue d’être immortel et donc elle l’est.
Bill : mais,
La reine : mon p’tit bill tu dois savoir que tout ce qui existe se projette inévitablement dans l’existence.
Bill : je dois avouer que votre théorie ne m’est pas très familière.
La reine : un autre exemple, imagine que tu es une jeune fille marié avec un con qui te traite comme une merde et qui sodomise des gamins pour se calmer. Et Maryann débarque avec sa religion. Une religion qui t’encourage à te mettre minable, a courir nu dans les bois, a baissé avec n’importe qui ou même n’importe quoi. Une religion qui est censé te rapprocher de dieu. (Elle se repoudre)
Bill : il est logique que cette religion plaise tant aux humains. Elle permet a certain d’éradiquer leur prédisposition au puritanisme.
La reine : exactement ! Elle te donne le droit de baiser avec qui tu veut. Pourquoi ne pas tuer un humain et le bouffer tout cru ? Tu t’en fou t’est super pieu, la religion cautionne tout tes actes et à chaque fois que tu commets une horreur, tu te rapproche un peu plus du divin.
Bill : c’est de la fantasmagorie.
La reine : ne sous estime pas le pouvoir de la nuisance d’une foi aveugle, elle permet parfois de modifier les lois de la physique ou pire encore de les ignorer.
Bill : je l’ai mordue et cela m’a empoisonné.
La reine : mais enfin c’est logique. On ne peut se nourrir que de sang humain et il y a longtemps qu’elle n’a plus rien d’humain.
Bill : mais à l’ origine elle était humaine.
La reine : Darwin ! ca te dit quelque chose ? Son espèce a évolué comme la notre.
Soupire de bill
La reine : le soleil se lève dans deux heures. Tu ne veux pas qu’on baise ?
Bill regarde la reine étonné.
La reine : Je rigole. (Soulagement de Bill) Depuis les années 40 aucun homme ne m’a satisfaite.
Bill : (Bill se lève) je dois retourner à bon temps.
La reine : c’est inutile ! Sookie n’est pas en danger, sinon tu le ressentirais.
Bill : mais,
La reine : repose-toi au palais et repart demain soir.
Bill : j’aimerai vous faire plaisir mais,
La reine : j’insiste ! (La reine s’assoie)
Ils se dévisageant, bill se rassoie
La reine : au fait petit bill, comment trouve tu mon nouvel abris a lumière artificielle ?
Bill : (regardant autour de lui) il est magnifique.
Scène 4 : Letti maé, Tara, Sookie, lafayette
Dans le salon de Lafayette.
Sookie : tara arrête de gesticuler, tu devrais te reposer un peu.
Tara : il faut que j’aille le tirer de ce merdier.
Sookie : on ira ensemble tara, dès que bill sera revenu, il aura peu être des informations qui nous permettrons d’éliminer Maryann.
Tara : il aura peut être des informations ou peut être pas et Eggs doit sortir de la tout de suite.
Sookie : tara, c’est beaucoup trop risqué.
Tara : sookie, combien de fois tu as risqué ta vie pour l’homme que tu aimais ? Alors toi tu as le droit mais moi je ne l’ai pas ?
Letti maé : ma petite fille, c’est mieux comme ca.
Des cris a l’extérieure.
Lafayette : ah chiotte, elle vient te chercher.
Lafayette sort du salon
Tara : j’ai enfin trouvé un super mec bon et gentil avec moi et qui m’aime en plus. Et vous voulez m’empêcher de l’aider parce que vous avez peur pour moi. Vous croyez que je pourrai me regarder en face s’il lui arrivait malheur et que je le perdais.
Lafayette revient dans le salon avec un fusil
Lafayette : tu ne retourneras pas avec un connard qui te bat, c’est tout.
Letti maé : il te bat ? Tara.
Tara : non c’était pas de ca faute, c’était de la faute de Maryann, il était hypnotiser.
Lafayette : ce n’est pas elle qui t’a mis une tarte dans la gueule. Alors assied toi et ferme la un peu.
Lafayette assied de force Tara et la menace avec son fusil.
Lafayette : sookie passe moi les menottes dans la poche arrière.
Tara : non !!
Sookie : c’est ca tes menottes ? (sort des menottes avec des froufrous violets)
Lafayette : tes mains tara (elle résiste). Mais tu vas faire ce que je te dis oui.
Tara : je ne te pardonnerai jamais Lafayette, jamais. Tu es jaloux parce que moi j’ai quelqu’un qui m’aime et toi ca t’arrivera jamais espèce de tarlouse.
Lafayette attache Tara a la table de son salon.
Letti maé : bébé, c’est pour ton bien.
Tara : toi ta gueule ! Tu ne veux pas que je sois heureuse parce que tu l’as jamais été vieille peau !
Letti maé : c’est faux ! J’ai toujours voulu ton bonheur.
Tara : et toi tu te crois heureuse en baisant avec un cadavre ?
Sookie : whaw, si tu crois que c’est comme ca que je vais prendre ta défense.
Nouveaux cris a l’extérieure.
Lafayette : je vais sous le porche et faire ce que je peux pour l’empêché d’entrée dans la maison.
Sookie : tu crois qu’elle osera ?
Lafayette : crois moi, quand un être surnaturel est après toi, il n’attend pas que tu te pointe, il vient te chercher.
Lafayette et sookie sortent, la mère de tara reste avec elle et s’effondre sur le canapé en pleure.
Tara : non mais tu te fou de moi la, c’est moi la victime, c’est a moi de chialer.
Scène 5 : Jason, Sam, Andy
Au Merlotte’s …… Andy essaye d’enlevé une tronçonneuse plantée dans le comptoir, Jason et Sam font du ménage.
Jason : c’est vrai ! Tu peux te transformé en animal quand tu veux ?
Sam : ouais, il faut juste que je m’en imprègne.
Jason: ca, c’est super cool mec!
Andy : ouais si on veut, c’est super cool comme tu dis mais, ca vas pas vraiment nous aider à buter la ménade qui est entrain de foutre le bordel.
Sam : Andy, on ne peut pas la tuer. Alors il vaut mieux que vous partiez vite fait. Tant qu’il est encore temps.
Jason : moi je pense qu’on devrait prévenir les flics.
Andy : ah ouais, et moi je suis quoi moi.
Jason : je voulais parler du chérif et de Kenya l’adjointe et l’autre gars la, le mec zarbie tu sais.
Andy : le poste est plus vide que t’a tête. Il vaut mieux que tu les oublies.
Jason : reste plus que nous pour faire respecter l’ordre. J’ai lu un livre qui parlait de ca, c’qu’on vit la c’est l’Armageddon, c’est la guerre aujourd’hui et faut qu’on bute tous ses putain de zombies. Il nous faut des armes. On va les exploser.
Sam : je vais te décevoir Jason, mais faut que tu sache que les armes ne peuvent rien contre Maryann. Toute façon on ne va pas tiré dans le tas. C’est gens ce sont nos amis et ici c’est chez nous.
Jason : ouais mais des fois il faut savoir détruire pour mieux reconstruire. C’est écris dans la bible, ou dans, la constitution, je sais plus.
Des bruits à l’extérieur, Sam se retourne
…: elle est pas la ?
…: chutttt
On aperçoit deux enfants qui partent en courant vers le bois, Sam sort pour les rattraper.
Sam : qui êtes vous ? Montrez vous, n’ayez pas peur. Aller montrez vous qu’on puisse discuter un peu (cherche des yeux dans feuillages autour de lui)…… Coby ? Hey.
Coby : est ce que maman est la ?
Sam : non non non, pas pour l’instant.
Lisa : tu peux nous cacher s’il te plaît Sam.
Sam : oui.
Coby : est ce que tu peux nous faire a mangé.
Lisa : on a rien mangé depuis avant-hier et on a très faim.
Andy : Sam.
Andy et Jason viennent à sa rencontre
Jason : Andy et moi on décolle.
Sam : vous allez ou ?
Andy : au poste de police.
Jason : il faut qu’on trouve des armes. Salut coby, ca vas Lisa ?
Sam : bon les gars je vous conseil de rester ici. Vous allez vous aventurer sur un terrain ou vous n’avez aucune chance de l’emporter.
Jason : Sam, c’est notre devoir.
Sam : vous allez vous faire massacrer. Vous allez essayer de vous défendre et vous allez tuer de pauvres innocents, c’est ca que vous voulez ?
Jason : on n’a plus le temps de réfléchir, hein hein, l’heure est venu, il faut agir.
Andy : peut être que Sam a raison.
Jason : Il n’a pas suivit le séminaire lui ! Il ne c’est pas non plus entrainer pour faire la guerre.
Sam : t’est complètement taré Jason ! (Aux enfants) Allé venez, je vais vous préparer quelque chose à manger d’accord. T’est vraiment qu’un pauvre taré Jason.
Sam et les enfants se dirigent vers le bar
Jason : ca t’arracherai la gueule de me remercier de t’avoir sauvé la vie ?
Jason et Andy montent dans la voiture.
Jason : tsss, j’lui sauve la vie à ce con et il m’insulte.
Andy : c’est l’histoire de ma vie Jason.
Scène 6 : Sookie, Lafayette, Tara, Letti maé
Sur la terrasse de Lafayette …… on entend des rires et des cris. Sookie est assise et Lafayette debout contre un arbre
Sookie : t’est sur que tu ne veux pas t’assoir ?
Lafayette : ouais.
Sookie reçoit un message sur son portable.
Sookie : c’est un texto de bill. Envoyer il y a 5 heures ! Ce n’est pas vrai, moi je change de portable dès qu’Eric me paye.
Lafayette : tu bosse pour Eric ?
Sookie : hum … Génial ! Bill ne reviendra pas avant demain.
Lafayette : donc il ne faudra pas compter sur lui pour voler à notre secours.
Dans le salon de Lafayette.
Tara : maman, je t’en prie, aide-moi à m’échapper. S’il arrive malheur à eggs tu aura détruit le seul véritable amour que j’ai eu dans ma vie.
Letti maé : tara, ne cherche pas le grand amour. Le grand amour le vrai t’écorchera vive, il t’anéantira.
Tara : je suis prête à te pardonner.
Letti maé: humm.
Tara : pour tout ce que t’a fait. Absolument tout et tu sais que ca fait beaucoup. C’est la dernière fois que je t’offre le pardon.
Letti maé : je ne peux pas ma chérie, désolé.
Tara : si tu ne m’aide pas, dieu te jugera.
Letti maé : c’est dieu qui ne veut pas que je t’aide.
Tara : non, c’est Satan ! C’est Satan qui se fait passer pour le seigneur. C’est Satan qui te fait croire qu’il est le seigneur tout puissant depuis trop longtemps et tu suis ses ordres comme un petit soldat.
Letti maé : non, tu te trompe.
Tara : je sais que j’ai raison. Je le vois dans tes yeux. C’est Satan qui me regarde en ce moment. Il me regarde à travers tes yeux depuis que je suis née. Tu ne t’es jamais donner corps et âme a dieu. Tu n’as jamais essayé de combattre ton ignorance et tes peurs, tu n’as agit que dans ton intérêt, jamais dans le miens ou celui d’une autre personne. Maman, dieu frappe à ta porte et toi tu ne réponds pas. Il frappe fort pour que tu l’entendes, alors laisse le venir à toi.
Apres un moment d’hésitation la mère de tara se met a genou et commence à prier.
Letti maé : oh seigneur, je me refugie en toi, sauve moi et délivre moi de ceux qui me poursuivent ou comme un lion ils me mettront en pièce et personne ne viendra a mon secours.
Sur la terrasse de Lafayette
Lafayette : c’était comment dans la tête de tara ?
Sookie : comme s’il n’y avait pas de limite, comme si tout était possible et je crains vraiment le pire. J’ai sentie ses entrailles se tendres a l’infinie, mais aussi l’extase créer par une espèce de vide, qui absorbait toutes les peurs qu’elles gardaient au fond d’elle. Elle ne voulait pas que cette sensation s’envole, elle jouissait.
Lafayette : ca me plait bien ton truc.
Scène 7 : Sam, Coby, Lisa
Au merlotte’s … les enfants sont assied au comptoir, Sam leur amène à mangé.
Sam : tenez les enfants, y’en a encore si vous en voulait.
Lisa : est ce que tu sais ce qu’elle a notre maman ?
Sam : non je ne sais pas trop, mais je crois qu’elle doit être malade.
Lisa : elle est aveugle ?
Sam : on peut dire ca comme ca, mais ce n’est pas tout le temps.
Lisa : et est ce qu’elle risque de mourir ?
Sam : non, ne vous inquiétez pas. Dites moi les enfants, vous l’avez déjà vu, comme ca avec les yeux noirs.
Lisa : ben elle n’avait pas l’air malade.
Coby : elle avait surtout l’air chtarber.
Lisa : elle est chtarber ?
Sam : tu sais mon ange, on l’est tous un peu de temps a autre.
Lisa : quand maman, a les yeux bizarres, elle embrasse Terry tout le temps et elle fait des trucs dégeux.
Coby : faut qu’elle aille chez le docteur.
Sam : heu.
Lisa : ou faut qu’elle trouve quelqu’un qui la rende comme avant.
Sam : et bien.
Coby : ouais il faut trouver un vampire, moi je paris qu’un vampire pourrai la soigner.
Lisa : ou il est Bill le vampire ?
Sam : heu, je ne sais pas trop a vrai dire, je crois qu’il est toujours a dallas.
Coby : et tu ne connaitrais pas un autre vampire ?
Scene 8 : Sookie, Lafayette, Tara, Letti maé
Sur la terrasse de Lafayette, ils sont assied l’un à coté de l’autre face au jardin
Sookie : et ta jambe ca vas ?
Lafayette : elle est comme neuve (il la lève et la plie pour lui montrer).
Sookie : comment c’est possible.
Lafayette : Eric m’a fait boire son putain de sang de vampire, voila comment c’est possible.
Sookie : moi aussi il m’a piégé.
Lafayette : ce pourri mériterait de s’en prendre une.
Sookie : ouais, j’lai giflé.
Lafayette : tu me la coupe.
Sookie : dit-moi-tu as, déjà, rêvé de lui enfin d’Eric je veux dire.
Lafayette : sookie, comment t’est au courant de ca ?
Sookie : quel genre de rêve ?
Lafayette : ce gars est toujours dans ma tête, je rêve que je baise avec lui dans la débauche la plus totale. C’est un pied d’enfer, mais ca me retourne le bide parce que je déteste ce fils d’enfoiré a un point que tu ne peux même pas imaginer.
Letti maé sort de la maison en pleure.
Lafayette : oh putain, quoi encore (lafayette se retourne) ? Qu’est ce qui y’a ? (il se lève)
Letti maé : je peux plus l’entendre, c’est trop dur elle me brise le cœur. Je préfère monter la garde, vous avez qu’à la surveiller vous. Avec vous elle sera moins méchante.
Sookie : ca c’est vous qui le dite.
Lafayette : si je te donne le flingue tu ne vas pas te suicide.
Letti maé : tu devrais me montrer plus de respect, c’est moi qui t’est apprit à tirer pour faire peur aux blancs qui t’embêtez.
Lafayette : oui, mais c’était avec une carabine à plomb et on tirait uniquement sur des chats.
Sookie : vous tiriez sur des chats ?
Letti maé : seulement quand ils faisaient leurs besoins dans mon jardin.
Lafayette : bon allé d’accord. (il lui tend le fusil)
Letti maé prend le fusil, vise Lafayette et sookie
Lafayette : qu’est ce que tu fais la ?
Letti maé : tara, bébé j’ai le flingue.
Sookie : mais vous n’oserez jamais tirer sur nous.
Letti maé : vas lui enlever ses menottes.
Lafayette : non.
Letti maé : vas-y.
Elle tire un coup de feu en l’air. Lafayette s’effondre dans un coin de la terrasse derrière une chaise.
Sookie : non mais ca vas pas, il a déjà faillit mourir d’une blessure par balle (sookie s’accroupi a coté de lui et le prend dans ses bras).
Letti maé : il mourra s’il ne détache pas tara.
Sookie : s’il fait ca, elle retournera avec Maryann et vous vous rendez compte que vous allez la renvoyer en enfer. Maryann c’est le diable.
Letti maé : c’est ma dernière chance de récupérer ma fille que j’aime tant. Les voix du seigneur sont impénétrables.
Sookie : les clefs.
Lafayette : elles sont dans ma poche, mais je suis tétaniser sookie.
Sookie attrape les clefs et rentre libérer tara.
Letti maé : tu me fais pitié.
Lafayette a une hallucination et vois Eric a la place de Letti maé.
Eric voix Letti maé : je te déteste pas contrairement à ta mère, même si je sais que tu ne changeras jamais. Je te laisserai pas nous séparer tara et moi.
Eric : Je vais être dans l’obligation de te tuer. (il éjecte la cartouche pour engager une nouvelle balle)
Lafayette : non pitié.
Hallucination Eric : je croyais que tu voulais devenir un vampire (Eric s’approche de lui, s’accroupi pour se mettre a sa hauteur. Juste une chaise les séparent) je sais que tu te sens bien avec mon sang dans tes veines. Si tu devenais vampire, tu te sentiras … mille fois mieux. Au revoir mon cœur. (Eric appuie sur la détente … on entend juste un Clic, Lafayette ferme les yeux et baisse la tête)
Tara et Sookie sortent a ce moment de la maison et l’hallucination de Lafayette s’arrête.
Sookie : merde, mais qu’est ce que vous lui avait fait. (Elle se précipite pour prendre Lafayette dans ses bras, il est recroquevillé sur lui-même)
Letti maé : rien du tout. Tara sauve toi bébé. Et n’oublie jamais ce que je viens de faire pour toi.
Tara se précipite vers les voitures, s’arrête sur les marches.
Tara : sookie file moi tes clefs.
Sookie : t’est entrain de faire une grosse connerie (elle lui lance ses clefs).
Tara descend les marches et monte dans la voiture de Sookie, elle démarre en trombe.
Scène 9 : Jason, Andy
Dans la voiture de Jason sur le trajet menant au poste de police, les rues sont désertes.
Jason : a ton avis Sam c’est déjà transformé en chien pour sauter une chienne.
Andy : oh soit pas con ! C’est de la zoophilie ca.
Jason : non non non, puisque ce serait un plan cul entre deux animaux et pas entre un homme et une chienne. C’est la nature.
Ils s’arrêtent devant le poste de police, une femme court en sous vêtement avec un rouleau de papier toilette.
Andy : en parlant de chienne en voila une et elle est en chaleur.
Jason : mais qu’est ce qu’elle fou.
Andy : je la connais, c’est Everly Masson.
Jason : on doit rétablir l’ordre Andy, on doit empêcher cette ville de partir en couille, on va leur en mettre plein la gueule. (Ils descendent de voiture)
Dans le poste de police. Rosie est au téléphone à l’accueil.
Rosie: c’est vrai, t’a fait police secours et t’est tombé sur moi. Oh, tu l’a dans le cul coco. Retente ta chance (elle raccroche voyant l’inspecteur et vas a sa rencontre).
Rosie : Oh, inspecteur BELLEFLEUR bel étalon, vous m’avez manqué. Oh, vous ne vous rappelez pas de moi, pourtant on failli s’envoyer en l’air un soir (voyant Jason, elle pousse Andy pour se jeter sur Jason).
Andy : heu.
Rosie : salut Jason.
Jason : salut rosie.
Rosie : ah toi t’a le droit de rentré partout sauf par la porte de service.
Andy : hey, ho.
Jason : ca vas aller Andy, je gère t’inquiète. Vas chercher les flingues.
Andy : stackhouse, on est en mission bordel, ce n’est pas le moment de tremper ton biscuit.
Jason : dégage de l’a tu vas me faire débander. Casse toi je fais diversion pour pas qu’elle prévienne les autres.
Andy part.
Rosie : je vais te faire des trucs qu’on ne t’a jamais faits.
Jason: hey, c’est carément Sadomaso ca!
Andy se dirige vers la pièce ou se trouve l’armoire des armes.
Andy : Jackpot !
Il commence à prendre des munitions, un coup de feu, Andy se retourne.
Bud : salut Andy, viens danser avec moi, aller. Quand le diable t’invite à dansé, tu fais un tour en 8 par le bras droit, tu recule et tu reviens.
Andy : oh aller c’est bon Bud.
Bud : et tu repars pour un tour et demi.
Andy : mais je n’aime pas danser.
Bud : tu repasse sur ta droite et tu fais un pas en arrière et avec lui tu croise les bras comme une étoile dans le ciel. Et hop.
Andy se libère et par la même occasion récupère le révolver de Bud
Andy : arrête tes conneries (Bud s’immobilise, regarde Andy).
Bud : je vais allez poser une pèche.
Bud s’en vas, Andy reste interloqué.
Scène 10 : Sookie, Lafayette, Letti maé
Sur la terrasse de Lafayette.
Letti maé : pourquoi il tremble comme ca ?
Sookie : parce que il est traumatisé.
Letti maé : et ben moi aussi.
Sookie chuchote a Lafayette : je vais tenter quelque chose, il faut absolument que tu sois réactif. Attrape le fusil quand il tombera. Tu vas y arrivé ?
Lafayette : hochement de tête.
Sookie : chut, n’est pas peur. Elle ne te tirera pas dessus. Est-ce qu’au moins vous pourriez arrêter de le viser, s’il vous plait madame. Il est terrorisé.
Letti maé baisse son fusil, tout vas très vite. Sookie attrape une statuette qu’elle envoie sur letti maé qui laisse tomber le fusil en s’effondrant. Lafayette le récupère.
Sookie : cours ! Allons chercher tara (ils partent rapidement et bondissent dans la voiture. On entend au loin la voix de Letti maé).
Letti maé : c’est de ma faute, elle m’a pardonné, j’ai cru qu’elle était guérie. Ne lui faites pas de mal.
Scène 11 : Sam, Lisa, Coby, Ginger.
Dans la voiture de Sam, garer sur le parking du fangtasia. Coby dort sur la banquette arrière a coté de sa sœur.
Lisa : Sam, t’a connu notre papa ?
Sam, non malheureusement, votre mère et lui, se sont séparé avant que j’arrive bon temps. Mais on en a beaucoup parlé.
Lisa : et on t’a dit quoi sur lui.
Sam : et ben, qu’il avait un tempérament bien trempé et qu’il était un peu imprévisible.
Lisa : je ne sais même pas quel tête il a. Maman à découpée toutes les photos ou il était dessus. Tout ce que je sais c’est qu’il s’appel Douane et qu’il a tatoué le prénom de maman sur son ventre.
Sam : et bien c’est qu’il devait beaucoup l’aimer. Tu sais un tatouage ca fait mal (Bruit de portière qu’on ferme et d’alarme).
Ginger se dirige vers la porte d’entrée du bar, Sam vas a ca rencontre
Sam : excusez-moi.
Ginger : hurlement.
Sam : oh oh tout vas bien, du calme n’ayez pas peur. Je viens voir Eric.
Ginger : il ne sera pas la avant la tombée de la nuit.
Sam : oui, évidement. Ecoutez, j’ai deux enfants avec moi, on peut l’attendre a l’intérieur.
Ginger : non, je laisse entré personne sans sa permission.
Sam: même pour heu (Sam fouille dans son portefeuille)…… 100 dollars? (Ginger a l’air très interessé)
Scène 12: Sookie, lafayette.
Dans la voiture de Lafayette qui roule a toute allure.
Sookie : je peux tenir le fusil si tu veux, ce serai plus simple pour conduire.
Lafayette : je préfère l’avoir sous la main si ca te dérange pas. Ne le prend pas mal hein.
Sookie : comment tu te sens.
Lafayette : pas terrible.
Sookie : Lafayette, il faut que tu te reprennes, je ne m’en sortirai pas toute seule.
Lafayette : je sais.
Sookie : tout ce qu’on a faire c’est rentrer, récupérer tara et sortir.
Lafayette : mais bien sur. (pas très convaincu).
Sookie : et si Maryann nous pose un problème, tu la descends.
Lafayette : a oui ? (l’air paniqué)
Sookie : évidement ! Et directe dans la tête.
Lafayette : d’accord !
Scène 13 : Tara, Eggs, Maryann / Arlène, Terry, Mike, Jane
Maison de sookie …… Tara entre par la porte de derrière. Eggs est assis seul dans la cuisine la tête baissé.
Tara: eggs.
Eggs: oh bébé? Ou t’étais passé, j’avais peur sans toi. Tu ne me laisseras plus jamais seul. (L’air abattu, il se jette dans les bras de Tara)
Tara : non plus jamais, c’est promis. Je t’aime (se met face a lui et le regarde dans les yeux). Il faut qu’on sorte de cette maison, tu m’entends. On va n’ importe où mais on reste pas ici, tu vas venir avec moi.
Maryann : mais tout ce que tu désire (tara se retourne, Eggs souris a la vus de Maryann) est dans cette maison. Je savais que tu reviendrais.
Maryann lui tend les bras. Eggs sourit. Tara se poste derrière Eggs en le prenant dans ses bras.
Tara : non, je ne sais pas qui vous êtes, mais ca ne me plait pas, je me tire.
Maryann : non, c’est trop tard ma chérie.
Tara : vous m’avez fait manger le cœur de quelqu’un.
Maryann : mais ca t’a plu, n’est ce pas ? Admet-le.
Tara : vous vous en foutez de nous, vous voulez Sam, on n’a rien à voir dans vos histoires.
Maryann : rien à voir dans mes histoires ? C’est toi ! (pointe du doigt Tara) Qui m’a invoqué.
Tara : quoi ? (interloquée)
Maryann : ce fameux soir dans les bois avec cette malheureuse pharmacienne. Tu m’a vu, enfin tu t’est vu a travers moi.
Flashback de la scène dans la forêt
Enfant : oh maman pitié, me fais pas de mal.
Voix Miss Janette : l’une de vous deux doit mourir.
Retour dans la cuisine de sookie.
Tara : mais miss Janette était un escroc, elle arnaquait les gens avec ses rituels a deux bal. (Paniquée)
Maryann : ohhhh, ses rituelles étaient très très puissants. Faire appel a des énergies occultes, n’est pas sans conséquences.
Tara : alors, ce n’était pas une arnaqueuse.
Maryann : c’est triste mais non. J’aurais préféré une porte d’entrée un peu plus glorieuse, mais j’ai fait avec ce que j’avais.
Eggs : rire.
Tara : par pitié, laissez nous nous en aller. (Maryann se met en transe, Tara lache Eggs et lui fait face) Votre truc ca marchera plus sur moi.
Maryann s’avance vers tara et lui donne un violent coup de point a la mâchoire, tara est a nouveau envouté. Tous rient.
Maryann : je préfère ca. (Tara se jette dans les bras de Eggs)
Eggs et tara montent a l’étage. Une foule bruyante entre dans la maison.
Mike : Elle est la. (Maryann leur fait face)
Terry : dieu est arrivé.
Maryann : quoi ?
Arlène : le dieu notre sauveur.
Jane : On l’a vu.
Terry : ouais et il a fait ca fête a Sam Merlotte pour de bon.
Maryann : de quoi est ce que vous parlez ?
Maryann a l’air très en colère, ce qui calme tout de suite la foule.
Terry : heu.
Mike : il avait des cornes et il a châtié Sam Merlotte cet espèce d’enfoiré et il a disparut en un éclair. Boom, envolé.
Arlène : ensuite y’a ses fringue qui sont tombés par terre, elles étaient toute vide. (Arlène pose par terre le pantalon de Sam)
Maryann : bande d’abrutis congénitaux.
Un bruit très strident, tous se tiennent la tête et hurlent de douleur.
Maryann : Dehors ! sortez d’ici. Bon sang faut vraiment que je fasse tout par moi-même. (Très contrariée)
Scène 14 : Jason, Rosie, Andy, Kevin
Au poste de police …… Jason a attaché rosie sur une chaise.
Jason : rosie, t’est sur que vous n’avez pas de grenades ni de lance flamme.
Rosie : si je te le dit.
Jason : vas y.
Rosie : tu me laisse te sucer.
Jason : rosie ce n’est pas mon genre d’abuser d’une demoiselle quand elle est défoncée.
Rosie : oh le mytho, je sais très bien que Patsy est tombée dans les pommes pendant que tu la sautais.
Jason : ouais mais elle aller très bien au début.
Rosie : laisse toi dorloter, je suis chaude comme la braise.
Jason : non je ne peux pas après je vais culpabiliser.
Kevin : et la tu culpabilise. (Kevin braque un pistolet sur la tête de Jason)
Rosie : vas-y tire, je veux voir ce qu’il a dans la tête.
Jason : non.
Kevin : c’est quoi déjà ce jeu ou t’a une balle dans le flingue et tu ne sais pas si elle va partir ou pas et tu flippe a mort. La tournante chinoise c’est ca ?
Jason : la roulette ruse. (Paniqué)
Kevin : ah oui c’est ca.
Kevin appuie sur la détente …… pas de balles. Andy arrive avec un fusil à pompe.
Andy : Kevin lâche ca.
Kevin tire et touche Andy.
Jason : enculer.
Jason le jette a terre et lui reprend le pistolet, il le vise prêt a tiré.
Andy : Jason, je ne suis pas mort. Kevlar.
Jason : cool, t’en a pas un pour moi.
Andy : j’ai trouvé que celui la.
Jason : merde, fais chier.
Scène 15 : Mme Fortenberry, Hoyt
Chez Hoyt … il regarde un matche de catch a la télé dans le salon, on entend ca mère en fond.
Mme Fortenberry : mince, j’aurais du congeler les barres chocolaté avant, oh et puis merde ca vas se mélanger a la biscotte, on pourra le recongeler après.
Hoyt : maman, qu’est ce que tu fous. (Hoyt se retourne vers la cuisine)
Mme Fortenberry : oh la sauce piquante. (Hoyt se lève et viens dans la cuisine)
Hoyt : c’est ignoble, ca vas être inboufable ton truc.
Mme Fortenberry : dieu le mangera lui, et il va adorer ca. Il faut se dépêcher.
Hoyt : on ne va nulle part maman.
Mme Fortenberry : Maryann se rappellera cette journée, jusqu'à la fin de sa vie. D’ailleurs elle a intérêt à en profiter parce que ca vas faire qu’empirer. (Elle continue de préparer son plat avec tout ce qui lui tombe sous la main)
Hoyt : qu’est ce que tu raconte maman.
Mme Fortenberry : et j’en sais quelque chose, aucune femme n’accepterez de vieillir si elle savait ce qui l’attend. Oh Hoyt, tu veux bien mettre la caisse de chardonnay dans la voiture.
Hoyt : maman, on ne bouge pas d’ici. (Hoyt touche sa mère qui se retourne et lui fait face)
Mme Fortenberry : il est hors de question que je manque la cérémonie.
Hoyt : a la mort de papa je t’ai promis de prendre soin de toi maman.
Mme Fortenberry : tu avais 10 ans ! Passe à autre chose.
Hoyt : tu ne trouve pas que tu as suffisamment souffert comme ca.
Mme Fortenberry : au contraire, j’aurai tellement aimé souffrir plus. Si tu savais le nombre de fois ou j’ai eu envie de débarquée au Merlott’s pour me saouler la gueule comme une camionneuse et me ramasser un putain de routier et me le farcir. Mais j’ai jamais pu, il fallait que je torche le bambin. (Repoussant Hoyt)
Hoyt : c’est pas toi qui parle la.
Mme Fortenberry : pauvre lapinou, t’est vraiment qu’un bande mou, comme ta lopette de paternel.
Hoyt : papa été un héro.
Mme Fortenberry : ce naze ! Ce pochtronnais en cachette. Et puis tu veux que je te dise, c’était une tarlouze refoulé, voila. Il aimait trop danser pour un mec normalement constitué.
Hoyt : je refuse de t’écouter, t’est trop méchante. T’oublie qu’il est mort en essayant de nous défendre d’un cambrioleur.
Mme Fortenberry : pas du tout, ton père c’est tiré une balle dans le cibouleau parc qu’il était trop faible pour assumer ses responsabilités.
Hoyt : mais …
Mme Fortenberry : j’ai mentie, j’ai dit que c’était un cambrioleur, parce que sinon on aurait jamais touché le pognon de l’assurance, espèce de crétin.
Sa Mère reprend la confection de son plat et Hoyt est dépité.
Scène 16 : Sookie, Lafayette, Arlène, Terry
Chez Sookie …… Des gens dansent nu dans le jardin. Elle et Lafayette sont en retrait dans le bois.
Sookie : ma grand-mère a vécu et est morte dans cette maison, et aujourd’hui cette maison est envahis de gens qui bafouent les valeurs qu’elle a toujours défendus. Et qui souillent sa mémoire. J’ai failli me faire violé a dallas mais, ce que je vie la est bien pire.
Lafayette : ca n’a rien a voire avec ta famille, ils ne sont pas eux même, ils sont posséder, ils ne le font pas exprès.
Sookie : la première fois que j’ai vu Maryann j’ai sentie immédiatement qu’elle jouait un double jeu. Elle pensait dans une langue étrangère et ca, ca sentais pas bon.
Lafayette : t’aurai rien pu faire de toute manière.
Sookie : pourquoi est ce qu’il y a autant de mal et de folie dans le monde. Pourquoi est ce qu’il y a autant de gens prêts à se faire du mal, a eux et a leurs semblables.
Lafayette : parce qu’ils sont faibles.
Sookie : moi je ne suis pas faible et je n’ai pas peur et je vais virer cette pétasse démoniaque de la maison de grand mère et toi tu vas la descendre.
Lafayette : d’une balle dans la tête.
Sookie : ouais.
Terry et Arlène perché dans un arbre au dessus d’eux.
Arlène : et vous la, c’est une propriété privée ici, vous allez vous prendre une prune.
Terry : ouais, ou sinon c’est la taule directe.
Ils sautent et atterrissent devant Lafayette.
Arlène : la prune est de 100 millions de dollars, plus vos pantalons.
Terry : file moi se flingue.
Lafayette : et, et de la drogue, vous acceptez la drogue.
Arlène : non, la drogue c’est pas mon truc merci.
Terry : qu’est ce que t’a.
Lafayette : de la MDMA qualité pharmaceutique.
Terry : t’aurais de l’OCCI.
Arlène : la drogue c’est pour les loosers bébé.
Terry : ca te fais baiser deux fois mieux.
Arlène : ah, d’accord, alors j’en veux.
Lafayette : combien t’en veux.
Terry : je prends tout.
Arlène : ouais, vas y envoie mec, avec mon job de merdasse, je peux pas me permettre des folies. Pourquoi commander un burger si tu peux avoir la vache entière.
Lafayette sème les cachets, Terry et Arlène le suivent pour les ramasser.
Sookie : j’en ai assez vu, je file par la porte de derrière.
Lafayette : je te rejoins dès que j’en aurais fini avec mes deux toxicos.
Arlène : oh, j’en ai un jaune.
Lafayette : ici, petit petit. Venez venez venez.
Scène 17 : Eric, Sam, Pam, Lisa, Coby
Au fangtasia …… Eric allongé nonchalamment sur une banquette, Pam derrière lui, Sam et les enfants assis en face.
Eric : pourquoi devrais je t’aider le Métamorphe.
Sam : parce que j’ai besoin de votre aide. On est tous concernés, si un jour vous avez besoin de quelque chose vous pourrez compter sur moi et je vous renverrai l’ascenseur.
Eric : tu peux m’avoir sookie stackhouse.
Pam : Pfff. (l’air excédé)
Sam : non !
Eric : dommage, cela aurais été une contrepartie appréciable.
Sam : je ne suis pas la pour faire l’entremetteur Eric.
Eric : non, tu es la pour sollicité mon aide en me proposant en retour un hypothétique renvoi d’ascenseur.
Eric s’assoit.
Eric : tu n’es pas particulièrement réputer pour ta sympathie envers les vampires. Pourquoi je te ferai confiance.
Sam : parce que si on ne se fait pas confiance et qu’on ne s’entraide pas on restera des cibles facile. Et cette folle aura notre peau.
Eric : désolé, mais je n’y connais rien en ménade, même si je me doute bien que c’est elle la bête a corne qui terrorise la ville, t’en dit quoi Pam.
Pam : cette créature me doit une paire de pompe.
Sam : bon vous pouvez nous aider ou pas.
Eric : je connais quelqu’un qui pourrai éventuellement s’avérer utile. J’ai bien dit éventuellement.
Coby : on peut voir vos crocs.
Eric sort ses crocs. Coby s’avance pour mieux les regardés, mais Lisa a un mouvement de recul.
Eric : t’aime pas les vampires ma jolie.
Sam : Eric !
Lisa : mon beau père il détestait les vampires. Mais nous non.
Coby : il est parti en vacance chez jésus.
Pam : quand je vois ca, ca me rassure de pas avoir eu de môme.
Eric : Pam, soit pas méchante, j’lai trouvent sympas moi, on dirait des humains en miniature. Ils sont mignons ses mini humains.
Pam dans une langue étrangère : je les hais, ils sont trop stupides.
Eric dans une langue étrangère: mais tellement délicieux.
Sam : est ce que vous pouvez au moins appeler la personne dont vous parlez, parce que la franchement.
Eric : je vais faire mieux, je vais aller la voire. Mais je dois partir sur le champ.
Sam et les enfants se lèvent.
Sam : très bien.
Eric : je vous raccompagne.
Pam dans une langue étrangère : s’il te plait sort ses choses horribles d’ici. Ca vas sentir pendent une semaine. (Rires d’Eric)
Sur le parking.
Sam : vous avez mon numéro de portable.
Eric : je vous ferai savoir si j’ai des éléments utiles. (Eric se retourne vers les enfants et se penche vers eux) Bonne nuit mes petits sucres d’orges. (Puis se redresse et s’envole)
Coby : wahhh, il vole.
Sam : allé venez on y va, je vous ramène a bon temps. Aller montez. On y va
Scène 18 : Sookie, Jane, Mike
Chez sookie en soirée…… Une femme est sous la véranda, elle est penché sur un plant de travail et chante, Sookie entre doucement. Crack
Jane : voila c’est fait.
Elle se retourne vers sookie. Un grand couteau de cuisine plein de sang dans les mains et lui montre le doigt qu’elle vient de se couper.
Jane : t’a vu, c’est pour un cadeau. Il adore les cadeaux.
Sookie entre dans la cuisine il y fait sombre, des carcasses de viandes sont posés sur les meubles, elle s’avance, découvre un homme nu dans l’évier. On lui attrape la jambe.
Mike : tu te rappel quand ta grand-mère était allonger la, raide morte, avec du sang partout.
Sookie : évidement que je me rappel.
Mike : allonge-toi avec moi.
Sookie : non.
Tous se mettent à hurler.
Sookie : c’est bon, chut, c’est d’accord, je m’allonge, chut.
Mike : rire.
Sookie : lâche moi.
Mike : aller viens.
Elle s’allonge sur le sol, Mike la prend dans ses bras.
Mike : tu sens bon toi.
Sookie : et ben peut être que je sens bon, mais toi alors tu pue.
Mike : on est encore plus vivant en présence de la mort. Tu ne trouve pas ? T’en sais quelque chose hein beauté.
Sookie : ouais, ben pas autant que toi.
Mike : comment ose tu le laissé te mettre son petit oiseau mort dans le minou. C’est pas naturel et c’est pas sain.
Sookie : je ne crois pas que tu sois en position de donner ton avis sur ce qui est naturel et sain.
Scène 19 : La reine, Bill
Chez la reine …… Bill et la reine se prélassent au bord de la piscine de l’abris a lumière artificiel, plusieurs hommes et femmes sont en ligne en face d’eux.
La reine : qu’est ce qui te ferait plaisir (en désignant les humains en face d’eux).
Bill : oh, ca ira pour moi, merci.
La reine : mon p’tit bill, tu dois te nourrir avant la partie de Yatsé, je te veux en forme.
Bill : je ne me nourri que de sookie. (La reine interloquée enlève ses lunettes de soleil)
La reine : pourquoi grand dieu te limité a elle.
Bill : votre majesté, je vous en supplie, si vous m’avez déjà tout révélé à propos des ménades, alors permettez moi de repartir dès maintenant.
La reine : quel ennuie. Laodice (Elle tape dans ses mains, il lui souris et contourne la piscine pour les rejoindrent).
Laodice : votre majesté ?
La reine : Laodice je te présente bill Campton. Accepte tu qu’il se nourrisse de toi mon petit.
Laodice : oui bien entendu.
Bill : j’apprécie votre proposition mais. (il s’agenouille devant Bill)
La reine : mon p’tit bill goute le au moins. J’insiste.
Laodice : je veux bien coucher avec vous.
Bill : ca ne sera pas nécessaire. (Bill se baisse et plante ses crocs dans le coup du jeune homme)
La reine : j’adore regarder deux hommes ensembles. (Rires de l’assemblé)
Scène 20 : Lafayette, Maryann, Carl
Chez sookie …… Lafayette sort d’un bois et se dirige vers la maison prudemment.
Maryann : je peux vous aider. (Maryann et Carl se tiennent derrière lui. Maryann tient une plante entre les mains qu’elle sent)
Lafayette se retourne surpris et les met en joue.
Marianne : Maurille noire, connu aussi sous le non de raisin de loup ou encore tomate du diable et enfin mon préféré la pomme de Sodome. Elle est très vénéneuse, mais bien dosé, ca relève délicatement les sauces à base de vin (elle en mange un morceau). Hum, ca leur apporte une touche de subtile folie. Une sensation d’abondons voluptueuse.
Lafayette : stop !
Maryann : je sais que tu n’es pas étranger….
Lafayette : n’approche pas saloperie.
Maryann : a la volupté.
Lafayette tire, Maryann fait dévier la balle avec sa main, et elle fini dans la tête de Carl qui tombe à terre raide mort.
Maryann : (se tournant vers Carl) oh, pauvre Carl, tu n’as pas beaucoup progressé dans cette vie. Tu es cuisinier il me semble ? (en se retournant vers Lafayette)
Scène 21 : La reine, Bill, Hadley, Laodice
Chez la reine … En pleine partie de yatsé au bord de la piscine dans l’abri a lumière artificielle.
La reine : (elle lance les dès) ah, je déteste les 3.
Bill : votre majesté, il faut vraiment que je parte.
La reine continue a jouer sans répondre, bill se lève est commence a partir.
La reine : les ménades sont stupides à mourir, le monde a changé a travers les siècles et elles, elles attendent toujours leur ridicule petit dieu.
Bill : est ce qu’il est déjà venu au moins ?
La reine : bien sur que non ! Enfin, les dieux ne se montrent jamais, ils vivent reclus dans l’esprit des humains tout comme l’argent et la morale. (Se tourne vers Laodice qui lui sourit)
Bill : si je ne peux pas la tuer, alors comment puis je la faire partir.
La reine : il faut lui faire croire qu’elle a réussi à invoquer Dionysos, dans l’espoir qu’il l’a prenne et qu’il la dévore littéralement jusqu'à ce qu’elle se perde dans l’oublie. (Hadley joue)
Bill : donc ce qu’elle cherche, c’est la mort. Enfin je veux dire la vrai mort, elle veut la seule et unique chose qui lui échappe encore.
La reine : hum, quel ironie hein, elles ne sont pas si futé que ca, ses ménades !
Bill viens se rassoir
Bill : comment la ménade fait ‘elle pour invoquer ses dieu qui n’existent pas.
La reine : ah je n’ai pas dit qu’ils n’existaient pas ok, j’ai dit qu’ils ne venaient jamais. Elles s’imaginent que si elles trouvent l’hôte parfait, qu’elles le sacrifie, qu’elles le découpent en morceau et le dévore entourée de la bande de fanatique qu’elle a mobilisé, elle parviendra a faire venir son dieu, au moment précis ou elle s’abandonne a lui, elle est vulnérable.
Bill : c’est a ce moment la qu’on peut la tuer.
La reine : un vrai petit premier de classe. (Se retournant vers Laodice)
Bill : l’hôte parfait, c’est un humain.
La reine : elles préfèrent les êtres surnaturels.
Bill : les espèces croisé.
La reine : Métamorphes entre autre, les loups garou, heureusement elles ne s’intéressent pas à nous, manifestement elle aime les cœurs qui battent, mais elle adore les espèces qui naviguent entre les deux mondes.
Bill : tant qu’elles ont un cœur qui bat.
La reine : ne perd pas de vue que ca fait des siècles qu’elles s’acharnent, elles essayent en permanence de nouvelles combinaisons dans l’espoir de trouver la formule magique qui vas le faire descendre de son perchoir. Les crétines.
Un homme entre, la reine se lève.
La reine : excusez-moi. Hadley, divertie nos invités veut tu ?
Le garde du corps : Eric …
La reine : oh, comme c’est intéressant !
La reine discute avec le garde du corps, pendant ce temps ….
Hadley : ma cousine Sookie va bien.
Bill : elle va bien.
Hadley : passez-lui le bonjour de ma part.
Bill : promis.
Hadley : grand-mère vas bien ? J’aimerais tant la revoir, mais je lui dois tellement de fric, alors…
Bill : c’est mieux pour vous de garder vos distances.
Hadley : oh ! Oui, oui je sais, je n’ai plus ma place dans le monde des humains. Ca m’empêche pas de penser a eux.
La reine au garde du corps : disposez.
La reine a bill : bien, nous avons la visite de M.Northman votre ami.
Bill : il est vraiment temps pour moi de partir. (Bill se lève)
La reine : ce comportement de mal dominant ! T’a cas baiser avec lui une bonne fois pour toute qu’on en finisse. Je vous regarderai. (Un grand sourire aux lèvres)
Bill : merci de m’avoir reçu majesté. (Il lui baise la main)
La reine : Court vers ta reine de la diététique. Je suis impatiente de faire sa connaissance. (Un ordre, non une requête de courtoisie)
Bill s’en vas et la reine se rassoit pour reprendre sa partie de Yatsé.
La reine : Yatsé
Scène 22 : Eric, Bill
A l’extérieur du palais de la reine … Eric s’avance, alors que Bill sort.
Bill : qu’est ce que tu fais ici.
Eric : je viens demander à la reine de m’apprendre à botter le cul d’une ménade.
Bill : ah oui, et pourquoi tu veux savoir ca. Pour passer pour un héros aux yeux de Sookie.
Eric : oh Billy ! Cette paranoïa permanente ca commence à me peser un peu. (Sur un ton très léger). Est-ce qu’elle te parle de moi.
Bill : non, tu dois vraiment être désespérer, l’attirer dans un traquenard pour lui faire boire ton sang et la forcé a succomber a tes charmes.
Eric : moi au moins je ne lui ai pas sauté dessus et fait boire mon sang dès la première rencontre.
Bill : comment tu le sais.
Eric : donc tu ne le nie pas.
Bill : c’était pour lui sauver la vie !
Eric : comme c’est pratique.
Bill : Eric je t’interdis de t’approcher de Sookie. Ou je dirai à la reine que tu oblige des humains à vendre du sang de vampires pour ton compte.
Eric : tu n’oseras pas.
Bill : je ne ferai rien, tant que tu foutera la paix a Sookie et que tu garderas tes distances.
Eric : je n’aime pas les menaces bill.
Bill : Moi n’ont plus.
Bill s’en vas et Eric entre chez la reine.
Scène 23 : Jason, Andy
Dans la forêt, la voiture de Jason.
Andy : pourquoi tu te gare aussi loin.
Jason : pour frapper à l’improviste, c’est ca l’effet de surprise. Vitamines, fait le plein.
Ils mangent une barre de céréales.
Jason : tu crois que Sam pourrait se changé en poule et puis pondre un œuf. Ca te ferait pas bizarre de bouffer un truc qui sort de ton cul.
Andy : faut vraiment être complètement tordu pour imaginer des conneries pareilles.
Jason : pourquoi tu m’a jamais aimer Andy. C’est parce que j’emballe un max de gonsèsses hein ?
Andy : non !
Jason : parce que je t’ai jamais piqué une gonsèsse moi. Y’a assez de chattes dans ce patelin pour tout le monde.
Andy : c’est pas un problème de chatte. Je trouve que t’a tout un peu trop facilement.
Jason : quoi, et comment ca j’ai tout trop facilement.
Andy : genre t’etait le quatorback vedette du championnat.
Jason : tu trouve que ca a été facile. J’ai mes putains de genoux en miette et j’ai même pas encore trente ans. Trouve mieux.
Andy : avec plaisir ! Les femmes tombent comme des mouches devant toi et t’a plus qu’a les ramasser.
Jason : c’est vrai, mais c’est pas tomber du ciel. Je fais de la Muscu comme un malade. Je regarde des films de cul pour me perfectionné et après tu crois quoi ? Tu crois que ma vie elle est cool ? Merde ! Mon meilleur pote a buté ma grand-mère et ma petite amie. Je viens d’une famille pauvre. Mon père et ma mère sont morts alors que j’avais à peine 11 ans.
Andy : pareil pour moi.
Jason : ton père est mort au Vietnam, mais ta mère c’est fait la malle avec un pilote de course, c’est pas brillant. Andy, t’a le droit de me haïr et de pensais que tu vaux mieux que moi et c’est peut être bien le cas. Mais toi et moi aujourd’hui on est sur le même bateau et on a été choisi pour sortir cette ville du chaos. Apparemment c’est la volonté de dieu qu’on enterre la hache de guerre.
Andy : cette ville dépend de nous, c’est ca.
Jason : c’est ca, et on n’a pas le droit de merdé mec.
Andy : je te jure qu’on ne merdera pas.
Jason : cette ville est peut être remplie de crétin et de pectnaux débiles. Mais ce sont des américains avant tout.
Andy : et se battre pour ca, ca vaut le coup.
Jason : ouais, grave.
Ils sortent de la voiture, remontés à bloc.
Jason : fusil a pompe. Cartouches. C’est parti !
Scène 24 : Sam, Bill
Chez Sam …Sam est assis sur les escaliers devant sa maison un fusil a la main quand bill arrive. Ils se fixent intensément.
Scène 25 : Sookie, Mike, Tara, Eggs, Lafayette
Chez sookie … Dans la cuisine, elle est toujours dans les bras de Mike.
Mike : ce qui est drôle, c’est que j’ai toujours détesté le sang. J’ai jamais voulu devenir légiste ou fossoyeur, je voulais être DJ ou capitaine sur un bateau.
Sookie : Mike, ca suffit les préliminaires, on a qu’à faire ca tout de suite d’accord ? Mais a une condition, voila je préfère te chevauché.
Mike: oh, ca me vas. C’est mieux pour mon dos en plus.
Sookie le chevauche, attrape une poile et lui donne un coup sur la tête, puis monte a l’étage, une voix …
Sookie : tara ? (elle ouvre une porte, et voix un homme entrain de se regarder dans un glace. Il porte une de ses robes)
L’homme : c’est trop peut être?
Sookie : (elle referme la porte) oui beaucoup trop.
Se dirige vers une chambre, ou elle trouve tara et eggs entrain de tout casser.
Sookie : arrêtez ! Qu’est ce que vous faites.
Eggs : quoi, c’est de la merde on pète tout.
Sookie : c’était à grand-mère. (Essayant d’arracher des mains de Tara des aiguilles et de la laine a tricoter)
Tara : j’en ai besoin pour le nid. (Tara et Eggs se précipitent vers le lit).
Sookie s’approche, un nid géant est poser sur le lit, eggs et tara y mettent des plumes et de la laine. Un œuf énorme y est posé en son centre. Elle regarde interloquée, quand une main vient se poser sur son épaule.
Lafayette : t’étais passé ou ? (elle se retourne) Je te cherchais partout. (Lafayette est envouté)
Sookie : Hurlements
Fin de l'épisode